R�gions Est : BORDJ-BOU-ARRERIDJ
Syndicat d’entreprise : Elections du bureau de wilaya


Plus actif que d’habitude, le syndicat d’entreprise d�cide enfin de s’ouvrir sur un grand public de fonctionnaires de l’�ducation. L’�pisode du jour concerne les chefs d’�tablissements moyens qui �taient nombreux � rejoindre le si�ge de l’UGTA o� ont eu lieu les �lections des membres du bureau de wilaya repr�sent� par 11 directeurs dont deux du chef-lieu de la wilaya.
Selon A. Zahar et R. Zarter respectivement secr�taire g�n�ral et adjoint du syndicat d’entreprise, les �lections se sont d�roul�es dans de bonnes conditions, propos confirm�s par A. Benbacha jeune DEH, lequel pr�cise dans la foul�e que l’UGTA serait en train de rompre avec son “classique archa�que” en prenant au s�rieux l’int�gration de nouvelles figures anim�es de bonne volont� et arm�es d’un capital non n�gligeable d’exp�riences syndicales sur d’autres fronts, ce qui permettrait de conjuguer les efforts des uns et des autres pour une gestion futuriste de l’entreprise.
Sa�d�ne Ammara

Sur une plainte du Cr�dit lyonnais, la police d�mant�le un r�seau de trafiquants
Un r�seau de jeunes trafiquants a �t� d�mantel� par la police de Bordj-Bou-Arr�ridj apr�s avoir re�u des plaintes de trois notaires victimes d’usage illicite de leurs propres cachets en France. En fait, tout a commenc� par une correspondance du “Cr�dit lyonnais” s’adressant � l’un des notaires op�rant en collaboration avec l’institution bancaire fran�aise notamment sur la gestion des comptes devises de quelques retrait�s de la r�gion, une correspondance faisant allusion � une suspicion de reproduction de son cachet, “un doute qui s’est av�r� fond� puisque les deux �toiles figurant en diagonale sur deux coins du cachet �taient l�g�rement d�cal�es par rapport � la position habituelle “confirme l’un des notaires concern�s lequel ajoute que les malfaiteurs qui activent au “bled” seraient complices avec une seconde moiti� du r�seau qui est all�e s’�tablir outre-mer. Selon une source autoris�e, la bande aurait us� d’un scanner pour l’imitation des griffes notariales. Les falsificateurs se seraient aussi servis de certificats de vie non authentiques, tout de m�me minutieusement copi�s dont les originaux proviendraient de l’APC de Da�fra, cibl�e il y a presque trois ans de cela lors d’une �meute qui a secou� la r�gion de Kabylie. Ces documents, ajoute une source digne de foi, seraient propos�s contre une somme de 5000 DA la pi�ce. Selon une source polici�re, le r�seau aurait �t� d�mantel� et qu’en ce moment, le groupe de la contrefa�on serait incarc�r� en attendant sa comparution devant le tribunal.
S. A.

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