Sports : PARLONS-EN
�a dribble en basket


A quatre mois, � peine, de l’organisation et du d�roulement par et en Alg�rie, des championnats d’Afrique de basket-ball seniors, la F�d�ration en charge de cet �v�nement semble se chercher encore, ou plut�t est � la recherche d’un “manager” � m�me de conduire le cinq alg�rien le plus loin possible dans cette comp�tition continentale.
Juste apr�s le renouvellement de ses instances, cette derni�re avait, dans une configuration unique, structur� ses �quipes nationales en d�signant � la fois un DTN… un DEN et… un charg� du suivi des �quipes nationales en sus de l’entra�neur national qui n’est que l’ancien international Tayeb Benabb�s, actuellement �tabli en France. Apr�s, un autre entra�neur national est appel� � la rescousse, il a pour nom : Fa�d Billel, lequel entra�neur a eu � diriger les Verts en 2001 avec lesquels ils se sont class�s 2e avec � la cl� une qualification au Mondial. Ensuite, Fa�d a �t� limog� par… ces m�mes personnes qui l’ont convoqu� mais en 2005, et avec des conditions qu’il s’est bien arrang� d’�tudier pour les dicter � ses interlocuteurs de la FABB. Bien s�r, de 2001 � 2005, d’autres entra�neurs nationaux ont driv� le cinq alg�rien, � l’image, dans le d�sordre, des Cermak et Labouize. Aussi, et � quelque temps seulement, d’autres �ch�ances r�gionales telles que les Jeux de la solidarit� islamique et les Jeux m�diterran�ens, l’EN est toujours structur�e par une ossature de joueurs dont la moyenne d’�ge est plus de… 30 ans, tout en s’essayant � une prospection de joueurs, ces jours-ci, � l’�tranger et plus pr�cis�ment en France. Alors que et il n’y a pas si longtemps, une �quipe appel�e “Espoir” avait battu l’Egypte et aussi la Pologne, class�e alors 6e en Europe. Parall�lement, les seniors � l’occasion des JSA en 2004 ont perdu face � l’Egypte qui a arrach� l’or � l’issue du tournoi arabe d’Alger. Berraf, le pr�sident de la FABB, suit-il l’�volution de ses �quipes, surtout qu’il a la chance de jouir de deux organisations de Championnats d’Afrique sous ses mandatures : en 1995 et en 2005 ? Aura-t-il le temps n�cessaire de reconna�tre ou de s’apercevoir que tous ceux qui accentuent sur “les bousbous” et les accolades ne l’aiment pas forc�ment. N’a-t-on pas dit : “Ne suis pas celui qui te fait rire, mais suis plut�t celui qui te fait pleurer”. Alors sans “Bousbous”, le basket-ball a marginalis� des comp�tences av�r�es pour sombrer dans le bricolage… Berraf est tenu de r�aliser un rebond pour une relance vive, comme au bon vieux temps.
Salim In�s

Nombre de lectures :

Format imprimable  Format imprimable

  Options

Format imprimable  Format imprimable