R�gions Est : KHENCHELA
Recrudescence des vols


Il ne se passe pas un jour sans qu’une certaine presse locale fasse �tat des actions des services de s�curit� vis-�-vis des d�linquants, une sorte de BRQ . Arrestations, tribunaux surcharg�s d’affaires de ce genre, prisons surpeupl�es et parall�lement � cela les vols connaissent une recrudescence.

Cette semaine, un bloc d’habitation r�serv� aux m�decins situ� sur la route de Batna a �t� cibl�. Un m�decin exer�ant au secteur sanitaire de Khenchela et dirigeant le SNSPSP, le syndicat des praticiens du secteur public, a d�pos� plainte contre x pour le vol cette fois d’une parabole. Le tout a �t� d�tach� du mur du b�timent. �Je ne suis pas le seul dans cette cit� � �tre victime des voleurs qui, d’habitude, ne prenaient que les t�tes des paraboles, heureusement qu’une partie de l’�clairage public a �t� refait, limitant un peu les vols dans cette partie de la cit�, dira-t-il au Soir d’Alg�rie. Le concern� qui vient de rentrer des USA plus pr�cis�ment de Denver au Colorado regrette bien d’�tre revenu, car ce n’est pas uniquement cette m�saventure qui lui est arriv�e, la cit� en elle-m�me ressemble beaucoup plus � une d�charge publique incontr�l�e o� les mauvaises odeurs c�toient la salet� sur fond d’eau potable de couleur changeante. Parfois rouge et impure et quelquefois verd�tre o� des objets douteux sont v�hicul�s. Enfin, l’eau est parfois (heureusement) ni incolore ni inodore avec apparemment des t�tards en suppl�ment qui remontent � partir des flaques d’eau stagnantes dans les caves des b�timents. C’est devenu maintenant tout � fait normal et il ne sert � rien de se plaindre. Puisque les responsabilit�s ne sont pas d�limit�es et d�termin�es, les structures alors se rejettent la balle.

RELANCE �CONOMIQUE
Une commission d’inspection

Une commission active sur le terrain, elle est charg�e du suivi des divers projets inscrits dans le programme normal et celui de soutien � la relance �conomique aussi bien du sectoriel que du programme communal du d�veloppement. Un vice-pr�sident de l’APW, membre de cette commission pr�sid�e par le secr�taire g�n�ral de la wilaya et compos�e des directeurs de l’ex�cutif concern�s devait d�clarer au Soir d’Alg�rie : �Nous avons fait le tour des “21 communes qui composent la wilaya pour voir l’�tat d’avancement des projets. On a r�gl� certains probl�mes avec des propri�taires des terres o� �taient implant�s des projets. D’autres probl�mes sont li�s � des contraintes d’ordre technique qui ont �t� �galement pris en charge. Globalement la consommation des enveloppes financi�res est appr�ciable” affirmera l’�lu en question. Il s’agit en fait de cerner sur le terrain l’�volution des projets, car parfois des rapports occultent des r�alit�s.

 

Le programme LSP lanc�

L’assiette fonci�re situ�e sur la route de Batna juste avant d’arriver � la station Naftal a �t� d�barrass�e des remblais de terre qui jonchaient le sol depuis plus d’une d�cennie. Elle sert � recevoir les projets de 4 entreprises priv�es ainsi que l’OPGI qui ont �t� retenus par le comit� technique comme le pr�voit l’instruction minist�rielle du 5 avril 2003, la direction de l’urbanisme et de la construction qui assure le secr�tariat du comit� a lanc� les consultations interservices entre les divers membres dudit comit� � savoir la DRAG, les Domaines, la DSA, la DLEP et la DPAT. Les entreprises ont demand� un d�lai de r�alisation de 18 mois � l’image de l’OPGI qui est une EPIC ayant un plan de charges de 314 logements sociaux participatifs. Deux autres entreprises priv�es devront r�aliser � Ka�s, l’une 60 logements sociaux particpatifs, et l’autre 36 LSP. Quant � A�n-Touila, 62 LSP ont �t� retenus. Pour les fonds de commerce, 44 locaux devront �tre r�alis�s sur la route de Batna. L’assiette fonci�re de l’ex-quartier populeux du Chabord qui a �t� d�moli et les habitants relog�s � la cit� Cosider s’est vu affecter 230 LSP qui ont �t� confi�s � une EURL. La proc�dure de finalisation consiste � examiner la recevabilit� des dossiers, l’affectation au niveau de terrains appartenant � l’Etat qui sont int�gr�s au PDAU (plan directeur d’am�nagement et d’urbanisme) en ex�cution des plans d’occupation des sols approuv�s qui pr�voient la nature des �quipements � recevoir. Aucun autre projet ne devrait avoir �t� affect� auparavant au niveau des assiettes convoit�es pour le LSP.
A. Ma�chi

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