Actualit�s : INVITE DE L'�MISSION "TAHAOULET"
Le P-DG de Sonelgaz, M. Bouterfa, explique l’emprunt obligataire


Invit� hier � l’�mission “Tahaoulet” de la radio Cha�ne I, le pr�sident-directeur g�n�ral de Sonelgaz, Nouredine Bouterfa, est revenu sur le lancement de l’emprunt obligataire en direction du grand public par l’entreprise ainsi que sur la question de la distribution et les co�ts de l’�nergie �lectrique.
F. Zohra B. - Alger (Le Soir) - L’op�ration lanc�e la semaine derni�re par la Sonelgaz a �t� hier au centre des d�bats de l’�mission “TAhaoulet”. Invit� � donner plus de pr�cisions sur la question, notamment concernant les buts de l’op�ration, le premier responsable de l’entreprise a rappel� que l’initiative fait suite aux exp�riences de la Sonatrach et d’Air Alg�rie et � deux premiers emprunts qui ont permis � l’entreprise de rassembler le montant de 30 milliards de dinars aupr�s d’institutions bancaires nationales. Ceci alors que l’op�ration, lanc�e le 22 mai, d’un montant de 10 et 15 milliards de dinars est destin�e au grand public. Pour sa part, M. Siagh, expert financier et P-DG du groupe Strategica, a expliqu� qu’il s’agit d’�tudier les r�percussions de l’emprunt dirig� vers le grand public et de pr�parer une strat�gie qui se base sur les liquidit�s et d’aider l’entreprise en vue de choisir la meilleure m�thode pour un cr�dit � moindre co�t et selon les possibilit�s de remboursement de l’entreprise. Les responsables de Sonatrach noteront en outre que l’entreprise doit aller vers les citoyens en vue de permettre le d�veloppement de l’entreprise. Interrog� par ailleurs sur la demande accrue concernant la distribution de l’�lectricit�, le P-DG de Sonelgaz a d�clar� que si au cours de l’ann�e 2003 il a �t� dit que l’Alg�rie avait un d�ficit en stations �lectriques, en fait le r�seau n’�tait pas au niveau. Depuis, il a �t� d�cid� la diffusion du courant �lectrique � travers le territoire national en reliant les stations du territoire national. Le probl�me se situe en fait au niveau du r�seau d’acheminement et de r�alisation des lignes retard�e notamment par des difficult�s rencontr�es dans le cadre des expropriations, a expliqu� M. Bouterfa F.
Z. B.

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