R�gions Est : BR�VES DE BORDJ BOU-ARRERIDJ

L�entreprise DNC sauv�e d�une d�localisation certaine

La dissolution de la DNC de Bordj Bou-Arr�ridj, qui carburait jadis � plein r�gime avec 260 travailleurs tous condamn�s aujourd�hui au ch�mage, �tait une aubaine le moins qu�on puisse dire immorale pour l�entreprise m�re Getic de S�tif dont l�intention fait en particulier le transfert du mat�riel de l�entreprise en ruine � S�tif, une sorte de �d�localisation locale� ! Etrange d�cision d�une administration cens�e tirer profit des �checs d�outre-mer dans ce type d�exp�rience �conomique.

Heureusement, les premi�res lueurs d�espoir des 260 familles viendront du pr�sident du directoire de l�entreprise de gestion des actions Indjab lequel, convaincu de la �fixation� de l�entreprise � Bordj gr�ce au rapport d�taill� sur l��tat des lieux fourni par le secr�taire g�n�ral de l�UGTA, d�cide d��tablir un plan de charges en collaboration avec les autorit�s locales et l�union de wilaya afin de relancer l�entreprise. Dans le m�me temps, l�UGTA avait pris la d�cision de r�mun�rer tous les fonctionnaires, une op�ration qui lui co�tera 255 millions de centimes. �La filiale Getic ne transf�rera donc pas les �quipements de Bordj�, lit-on clairement dans les correspondance du directeur g�n�ral de Grepco.

ARRESTATION D'UN M�DECIN SP�CIALISTE DU CHU

Il faisait payer ses malades

Les �l�ments de la Sur�t� ont proc�d� � l�arrestation d�un m�decin sp�cialiste sur la base de t�moignages indiquant que le concern�, conventionn� en termes de �gardes� avec l�h�pital, pratiquait des interventions payantes � l�int�rieur m�me de l�enceinte m�dicale �tatique. Selon le PJ, le toubib aurait �t� pris en flagrant d�lit. L�interrogatoire de l�une de ses victimes et sa propre infirmi�re avait d�bouch� sur les aveux d�un exercice bel et bien ill�gal du m�decin. L�un de ses malades avait pr�cis� en outre que le sp�cialiste lui aurait demand� 3,5 millions de centimes contre une intervention qui lui aurait-co�t�, selon le m�decin, le double � S�tif ! Quelle g�n�rosit� ! Dans le m�me temps, une p�tition qui aurait �t� sign�e par des sympathisants du docteur contre ce qu�ils consid�rent d��arrestation arbitraire�, une r�action mont�e, selon la PJ, par un individu lui-m�me mouill� jusqu�au cou dans une affaire illicite � l�h�pital. Pour l�instant, le m�decin est en libert� provisoire en attendant de compara�tre devant le juge d�instruction.
Sa�d�ne Ammara

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