A d�faut d�une Coupe d�Afrique comme habitu�s � la prendre jadis, voil� que la mission pour laquelle les handballeurs de Mekki sont partis transcrire sur les terres tunisiennes ; � savoir une qualification au Mondial 2007, devant se d�rouler en Allemagne, est s�rieusement compromise, voire quasi impossible.
D�cid�ment, on ne sait pas o� est-il �crit que les sportifs alg�riens ne fouleront pas le sol allemand en 2007 ? Apr�s le foot et le volley ; c�est au tour du hand probablement de ne pas y �tre lors de cette joute mondiale. Cumulant trois d�faites cons�cutives et respectivement face au Maroc, l�Egypte et enfin devant l�Angola, l�EN a hypoth�qu� ses chances de passer aux demi-finales. Et pourtant, hier devant les Angolais, les prot�g�s de Mekki ont donn� l�impression de se reprendre et pouvoir se racheter. L��ni�me affront d�montre que l��quipe d�Alg�rie �tait hors du coup � Tunis. Une d�route qui laissera s�rement des s�quelles difficiles � panser. Malgr� l�ouverture du score par les Angolais, les Alg�riens se rebiffent et �galisent pour poursuivre leur ascendant au tableau d�affichage. Menant 4-1 d�s les premi�res minutes de jeu, les Verts retombent dans la facilit� et laissent leurs vis-�-vis reprendre du poil de la b�te. Les retournements se suivent et se poursuivent. A la fin du premier half, le score �tait � �galit� (13-13). En seconde p�riode, une course-poursuite est engag�e par les deux ensembles. Les Angolais, bien qu�en petite forme, r�agissaient vite et efficacement, ne se laissant pas distancer au score. Par contre, les Alg�riens semblaient d�pass�s par cette fougue qui leur a �t� impos�e. N�arrivant pas � d�velopper leur jeu, malgr� le sursaut d�orgueil affich� en d�but de partie, ils conc�dent des points qui se sont av�r�s fatals. Encourag�s, les Angolais, bien inspir�s par leur coach bulgare, Nichola�, prennent l�avantage sur un but qu�ils ont su conserver jusqu�au dernier coup de sifflet final. Comme en 2004, les prot�g�s de Mekki subissent une autre d�faite devant l�Angola et par l� m�me encaissent la troisi�me racl�e de suite. Comme dirait l�autre : �Jamais deux sans trois�. Ou, c�est la fin d�un r�gne !
O. K.

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