Sur les 15 576 candidats � l��preuve de la sixi�me, 6 482 seulement ont obtenu leur admission en premi�re ann�e moyenne, ce qui correspond � un taux de r�ussite de 43%. Gr�ce � l�op�ration de rachat, 4 519 autres �coliers ont acc�d� � la m�me faveur, soit 29% de l�effectif global. Au total, le taux de succ�s � l��preuve est estim� � 72%, c�est-�-dire environ 11 000 admis. Les 4 533 candidats recal�s auront une seconde chance lors d�une deuxi�me session qui aura lieu le 24 juin prochain.
Des sources min�rales abandonn�es
Riche en eaux min�rales, le relief des Bibans d�nombre au moins une vingtaine de sources r�pertori�es par la direction de planification sur la base des rapports �tablis par les direction de l�hydraulique et de la sant�. Officiellement, trois sources au moins sont reconnues par rapport � leur qualit� th�rapeutique. Il s�agit des points d�eau min�rale froide de Z�malla �parpill�s dans la r�gion de Ras El-Oued, dont le d�bit moyen atteint 17 l/s. Malheureusement, ces sources ne servent qu�� la petite irrigation et au jardinage priv�. La source de Hat talla, commune d�El Hammadia, dont le d�bit avoisine les 10 l/s, d�verse inutilement � Oued Soulite pour aller se m�langer aux eaux du barrage de M�sila, et enfin, la source de Lemhaz de la r�gion d�El-Achir au faible d�bit de 2 l/s dont les eaux disparaissent par percolation dans la nappe. Il semble que le constat est le m�me malgr� les journ�es d��tude, de sensibilisation et de vulgarisation autour de la question. En effet, ni les patrons des limonadiers, ni ceux de la bouteille min�rale ne s�y int�ressent. Faut-il encore attendre des investisseurs �trangers qui savent reconna�tre les vertus de ces eaux et leurs techniques de commercialisation. A Bordj Ghedir, par exemple, plusieurs habitations b�n�ficient gratuitement de l�apport en eaux min�rales. C�est le cas notamment de la r�gion de Z�mala o� les gens parlent depuis bon nombre d�ann�es d�un notable de la r�gion qui compte investir dans ce cr�neau, malheureusement, cela est rest� au stade de la rumeur. D�autres sources d�eaux min�rales froides, �galement �parpill�es dans les r�gions de A�n T�rab, A�n Soltane, A�n Beni Amrane, A�n Zemmourah, Bir Kasd Ali, Khelil, Slatna, Medjana� demeurent � l��tat sauvage en l�absence d�une v�ritable politique �conomique de l�eau min�rale.
Sa�d�ne Ammara

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