Chaque saison l�arbitrage est remis en question par dirigeants, joueurs et sportifs de tout bord. C�est � la FAF par l�interm�diaire de la DTNA d�all�ger ce probl�me qui �d�range� jusqu�� ce qu�il soit point� du doigt.
On est en droit de penser que les inspecteurs (si la m�thode est toujours en vigueur) ne rapportent pas fid�lement l�office du trio, lui �vitant la sanction pr�f�rant signifier un simple rappel � l�ordre �afin, dit-on, de ne pas salir la corporation En ce week-end, certains confr�res ont soulev� des contestations de responsables surtout celles de Medouar, pr�sident de l�ASO qui accuse l�arbitre Benouza, un international, de concussion avec le PAC tout en reconnaissant que sur le plan continental et international nos �referees FIFA� sont tr�s repr�sentatifs. Comme quoi, il s�agit d�un arbitrage qui n�est pas r�glementaire et o�, par cons�quent,la morale sportive est �branl�e par ses offices � double vitesse. D�autres ont �t� �cl�ments� en omettant d�exclure des joueurs coupables d�actes r�pr�hensibles qui auraient pu assurer une sup�riorit� num�rique et, donc, un avantage �ventuel au tableau d�affichage. Cela aurait �t� logique surtout dans le cas o� les images de l�ENTV sont visionn�es par la DTNA (ce qui ne semble pas �tre le cas) comme cela se fait outre-mer et m�me lors du dernier Mondial. Ainsi, il se serait utile que la LNF, la FAF et la DTNA jouent un r�le de r�gulateurs, car nul n�a le droit de pr�juger de l�issue d�une rencontre et encore moins de l�avenir des joueurs fautifs. Le bar�me disciplinaire �tant connu de tous et celui qui joue avec le feu risque de se faire br�ler, comme dit le proverbe.
C. Khalil

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