R�gions Centre : Pr�cisions

Faisant suite � la parution, dans votre quotidien, d�un article relatif aux effectifs stagiaires en formation ; que j�ai eu l�honneur de pr�senter lors du dernier conseil de l�ex�cutif de wilaya, permettez-moi, Monsieur, d�exprimer � la fois mon �tonnement et ma profonde d�ception devant les commentaires acerbes de votre correspondant et de ses interrogations insidieuses.

Commentaires qui essaient de remettre en cause les efforts consentis par plus d�un millier de travailleurs du secteur de la formation et de l�enseignement professionnels de la wilaya de Tizi-Ouzou, pour le service des jeunes en qu�te de formation. En outre, si les chiffres publi�s sont repris fid�lement, le semblant d�analyse en revanche de votre correspondant souffre d�un manque flagrant d�inspiration. En effet, les capacit�s th�oriques, en termes de postes p�dagogiques, relevant du secteur de la formation professionnelle sont de 8 225, pour un effectif de 10 664 stagiaires en formation, en comptabilisant la quarantaine de sections d�tach�es en milieu rural pour un effectif de 1 069 stagiaires, dont la formation se d�roule dans les structures (non comptabilis�es) c�d�es au secteur soit par la Direction de l��ducation ou bien par les APC. Ajouter � cela une trentaine de sections qui fonctionnent en double brigade (une section le matin, l�autre l�apr�s-midi) et en double vacation (deux sections fonctionnant en m�me temps, l�une faisant la th�orie, l�autre la pratique) pour un effectif global de plus de 760 stagiaires ; ainsi que les femmes au foyer qui subissent des formations qualifiantes dont l�effectif s��l�ve � 610 au cours de ce semestre. A la lumi�re de ce qui pr�c�de, je tiens � vous signaler que ce n�est pas tant les statistiques que nous pla�ons comme objectif premier, quand bien m�me cela rev�t un cachet particulier que d�augmenter les capacit�s d�accueil , mais notre pr�occupation fondamentale est de dispenser une formation de qualit� et accessible � un plus grand nombre de jeunes, pour r�sorber la d�perdition scolaire et en ad�quation avec les besoins du march� du travail pour contribuer, en tant que secteur, � la r�sorption du ch�mage. Croyant en les vertus de l�information authentique, les portes de mon secteur demeurent toujours ouvertes, aussi je vous pris de croire, Monsieur le directeur, en mes salutations les plus sinc�res. 
La directrice 

R�ponse aux pr�cisions 
D�sol� de vous �tonner et de vous d�cevoir, �l�information authentique� comme vous le dite, ce n�est pas uniquement ce qui ressort de vos d�clarations, c�est aussi et je dirais surtout ce qui �mane du terrain. L�article qui vous d�pla�t n�a rien � voir avec �l�inspiration� m�me insuffisante selon votre appr�ciation, il r�sulte des constats effectu�s sur le terrain lors des r�unions et des visites officielles, c�est-�-dire des remontrances du wali et des lacunes relev�es, et imm�diatement corrig�es, lors des visites du ministre de tutelle. Le reste de votre r�ponse, qui manque visiblement d�arguments, n�est qu�une tentative de diversion � l�intention de ceux qui n�auraient pas pris connaissance du contenu de l�article. B. T.

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