Depuis l�installation du directeur, M. Kaci, il y a de cela une ann�e, l�h�pital de Bordj-Bou-Arr�ridj a fait un grand saut. Il est appr�ci� aussi bien sur le plan de son fonctionnement administratif que sur la qualit� des prestations, des soins et de l�accueil.
Faut-il rappeler que les structures de soins appartiennent aux usagers et le directeur M. Kaci semble s�inscrire dans cette logique. En effet, plusieurs �quipements m�dicaux, allant de la p�diatrie au bloc op�ratoire en passant par d�autres sp�cialit�s de l�ordre de plusieurs millions de dinars, qui �taient auparavant d�laiss�s et non fonctionnels, et qui sanctionnaient gravement les malades, ont �t� remis en bon �tat de fonctionnement et mis � la disposition des chefs de service au seul profit des patients de la wilaya de Bordj-Bou- Arr�ridj, o� pr�s de 37 m�decins sp�cialistes toutes disciplines confondues occupent l�espace sanitaire. Les malades de la wilaya de BBA n�auront donc plus � �tre transf�r�s vers les CHU de S�tif, Constantine ou Alger, hormis pour les lourdes pathologies. M. Kaci semble �tre d�termin� � r�ussir les missions qui lui sont conf�r�es pour apporter une satisfaction permanente aux usagers de l�h�pital. Conscient que dans la vie des citoyens le symbole institutionnel qui sert de r�f�rence reste l�h�pital, qui cr�e du sens entre population et secteur sanitaire comme maladie et soins, souffrance et compassion, asile et rejet, d�vouement et savoir, etc. En outre la lutte contre les infections nosocomiales fait �galement partie du programme de travail de du directeur, ce dernier affirme qu�une bonne qualit� de soins d�terminera la relation patient-m�decin et, de fa�on g�n�rale, la confiance des usagers de l�h�pital. En effet, si la sant� occupe une place d�terminante dans la soci�t�, l�h�pital doit apporter des r�ponses. A ce titre, il faut am�liorer l�information, la pr�vention, l�orientation et l�accompagnement des patients. Cela permettra � ces derniers de s�orienter dans le syst�me de sant� dans la mesure o� la qualit� de soins n�est pas la m�me d�un h�pital � un autre ou d�une r�gion � une autre. Des efforts ont �t� entrepris dans ce sens depuis une ann�e, reste � savoir si cette bonne gouvernance m�dicale sera p�renne.
Layachi Salah-Eddine

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