Sous le haut patronage du wali et en collaboration avec l�APW et l�APC de Batna, la DJS et la Ligue d�athl�tisme organisent la soixanti�me �dition du challenge des Aur�s les 24 et 25 du mois en cours au complexe du 1er-Novembre de Batna.

Cette manifestation nationale regroupera plus de trois cents athl�tes (gar�ons et filles) appartenant � quinze s�lections de ligues en plus des cinquante meilleurs chronos concourant pour plusieurs coupes challenge, concours, courses, relais, relais d�argent en plus de r�compenses aux laur�ats en nature, en esp�ces, et �galement un ch�que cons�quent au club vainqueur de la coupe challenge. Ces encouragements visent � redonner au challenge des Aur�s son lustre d�antan. L�ardeur qui a pouss� les responsables de l�inspection de la jeunesse des sports de wilaya d�s l�ind�pendance du pays a permis de remettre sur pied le challenge apr�s six longues ann�es de gel est semblable � celle d�encadrer les �coles, l�administration� apr�s le d�part des �trangers du pays. Si � l�origine, le challenge d�athl�tisme �tait celui de l�ASB, club organisateur, depuis 1910 comptabilisant 36 �ditions jusqu�en 1961 celui des Aur�s est revenu malgr� le manque de moyens (seuls les bienfaiteurs de Batna le finan�aient) triomphant plus que jamais. D�ailleurs, le 16 juin 1968, une demoiselle aussi belle que grande a montr� la voie de la continuit� avec un saut en hauteur de 1,50 m. Oui ce saut en hauteur de Mlle Chaouche Rafida a marqu� la reprise, la bonne reprise. Aux autres �ditions il y a eu infirmation avec la ligue de Constantine qui s�est appropri� la premi�re coupe challenge en la remportant trois fois successives (1969-1970-1971). D�autres ont inscrit leur nom en lettres d�or dans cette glorieuse comp�tition que les Batn�ens tiennent � relancer, en t�moigne l�importance accord�e par les assembl�es populaire de wilaya et communale, comme Adigou de la ligue d�Alger (10� et 4/10 au 100 m en 1971). Si avec la d�cennie noire, Batna avait perdu un rendez-vous qu�elle ne retrouva que timidement en 1998, pour cette �dition de la maturit� tous les espoirs sont permis : le comit� d�organisation a mis les moyens mat�riels et financiers qu�il faut ajouter � l�encadrement technique connu pour ses comp�tences av�r�es, pour permettre aux athl�tes de se surpasser. C�est une r�p�tition g�n�rale avant les Jeux africains. Houadef Mohamed

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