Actualit�s : ABOUDJERRA SOLTANI A A�N-DEFLA :
�Ne pas voter permet la fraude�


Le N�1 du MSP a anim�, vendredi en milieu de matin�e, un meeting � la salle de cin�ma Doui de A�n-Defla en pr�sence d�une forte assistance, dont un nombre important de femmes. Les prises de parole des cadres du mouvement ont �voqu� et d�nonc� l�attitude �antid�mocratique de l�administration qui a ray� des listes de candidatures des hommes en �or�, (64) sous diff�rents pr�textes fallacieux de ��l�ments dangereux pour la soci�t� en les accusant d�appartenance au parti dissous�.
Tout comme ont �t� d�nonc�es les rumeurs faisant �tat de �pr�composition des Assembl�es communales et de wilaya� qualifiant ces rumeurs de �d�mobilisatrices� des citoyens. �Ceux qui sont derri�re ces rumeurs veulent le retour du parti unique, ajoute-t-on. Pour Aboudjerra Soltani �la rumeur n�est qu�une �cume qui a la vie courte��. Elle s�estompera au lendemain du 29 novembre�. Pour ce qui est de la fraude �lectorale pr�n�e par les artisans des rumeurs, Aboudjerra Soltani dira : �Gr�ce aux nouveaux amendements du code �lectoral, il n�existe plus qu�une seule voie pour frauder � le bourrage des urnes�. Ajoutant que �le bourrage des urnes n�est possible que si l��lectorat s�abstient de voter � on vote � sa place !� et � ce sujet, le chef du MSP insiste sur �la vigilance constante pour d�courager les artisans de la fraude. Artisans qui sont, pour Aboudjerra Soltani, �les agents mercenaires de l�administration � et disculpe les grands responsables. �Ce n�est pas l�Etat, ni Zerhouni, ni les walis qui fraudent�!� Dessinant le profil des futurs pr�sidents d�APC, il incite ses partisans � voter pour des gens honn�tes, propres, int�gres, pour des �hommes de terrain et non des chefs de bureau�. Pour Hamas, la pratique d�mocratique est en vigueur dans ce parti. �Il n�y a pas de chkara � d�bourser pour figurer sur nos listes. Seules sont de mise les qualit�s humaines des candidats. Le d�fi � relever c�est d��tendre cette d�mocratie � la soci�t�. Pour l�orateur : �Nous n�avons pas de probl�mes id�ologiques en Alg�rie mais surtout des probl�mes de choix de bons gestionnaires�
Karim O.

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