R�gions : HABITAT PR�CAIRE DANS LA WILAYA DE TIZI-OUZOU
Les habitants de Dra�-El-Mizan dans un total d�sarroi !


Apr�s plusieurs requ�tes adress�es aux autorit�s locales et de wilaya, les habitants des quatre cit�s coloniales de Dra�-El-Mizan (dans les villages de Tazrout, Boufhaima, Ma�mar et cit� Ind�pendance au chef-lieu) ne voient rien venir, en d�pit des promesses et garanties qui leur ont �t� donn�es quant � la r�solution de leur �pineux probl�me.
Les cinq cents m�nages, regroupant les quatre cit�s, vivent dans des situations dramatiques depuis belle lurette. Une lueur d�espoir est venue r�chauffer les c�urs de ces gens vivant dans la pr�carit� lorsque le pr�sident de la R�publique a initi� le plan national du RHP (R�sorption de l�habitat pr�caire) ; toutefois, cette confuse situation perdure et devient plus complexe apr�s la revue � la baisse du quota attribu� � la commune de Dra�-El-Mizan. Pourtant, un total de cinq cents m�nages a �t� recens� par les autorit�s de la commune et de la wilaya dans le cadre du programme de 2003. Dans une requ�te adress�e au wali de Tizi-Ouzou ainsi qu�aux autorit�s concern�es, le collectif des cit�s dites coloniales refusent d��tre associ� au social locatif, eux qui sont dans la pr�carit�. En outre, ces citoyens ne comprennent pas pourquoi leur commune ne s�est vue attribuer que cent logements, alors qu�un recensement montrant que cinq cents m�nages sont dans un grand besoin a �t� fait par les autorit�s locales puis confirm� par la CNL, suivi m�me par le choix et l��tude des terrains appropri�s. De ce fait, les repr�sentants de ces habitants demandent plus d��claircissements sur les r�elles causes du retard quant � l�ex�cution du projet et la transformation de cinq cents logements RHP de 2003 en cent logements sociaux en 2008. Ils demandent aussi � ne pas associer le social � la pr�carit� et rester dans l�objectif d��radiquer l�habitat pr�caire. D�autant plus que la commune rec�le un foncier �norme (terrains communaux, domaniaux et forestiers). Ils sugg�rent qu�on leur d�livre des permis de construire et des aides financi�res pour pouvoir r�aliser eux-m�mes leurs habitations sous le suivi des services concern�s de la municipalit�. Enfin, ils comptent sur le wali, premi�re autorit� de la wilaya, pour intervenir dans le but de rendre espoir � de nombreuses familles d�munies.
Slimane S.

BOUZEGU�NE
Inauguration d�une liaison intercommunale

Le r�seau routier de la da�ra de Bouzegu�ne s�enrichit d�un nouveau tron�on routier de 8 km en b�ton bitumineux d�un montant de 16 milliards de centimes r�alis� dans le cadre du programme de d�veloppement sectoriel.
Il relie le chef-lieu de Bouzegu�ne (CW251) avec le CW 09 (Bouhir RN 71), offrant divers avantages dans la mesure o� il permet de relier Bouzegu�ne � Tizi-Ouzou en une heure, soit un gain de temps de 30 mn par rapport � Azazga tout en �vitant aux passagers le spectre des �boulements et des chutes de pierres dans la r�gion d�Ifigha. Autre avantage de taille de ce tron�on, la s�curit� qu�il offrira pendant les p�riodes d�enneigement sur cette liaison � basse altitude sachant les exp�riences pass�es de voyageurs bloqu�s ou oblig�s de faire des kilom�tres � pied pour rallier leurs villages sur l�ancien r�seau en altitude. V�u pieu de toutes les APC pr�c�dentes au regard de son importance strat�gique, le projet n�a vu son inscription qu�en 2007. La visite du ministre de tutelle dans la r�gion, venu inaugurer le pont de Bouhir relanc� par le P/APC de l��poque, a d�finitivement scell� le destin de ce projet qui a �t� inaugur� mardi par les autorit�s locales en pr�sence de la DTP de Tizi-Ouzou. Il convient cependant de signaler que le gu� r�alis� sur le lit de l�oued en lieu et place d�un ouvrage plus fiable pr�sente l�inconv�nient d��tre submerg� par les eaux en crue durant les intemp�ries comme ce fut le cas l�hiver dernier.
S. Hammoum

Les citoyens du village Tadert � Azazga nous �crivent
La fermeture de la da�ra d�Azazga et de la RN12 par des citoyens du village Tadert, comme nous l�avions rapport� dans une de nos pr�c�dentes �ditions, a fait r�agir un autre groupe de citoyens du lieudit Tazaghart, relevant du m�me village, dans la commune d�Azazga. Des citoyens qui insistent pour dire qu�ils ne sont pas impliqu�s dans ces deux actions, qui ont bel et bien eu lieu et ont induit la fermeture de la salle des f�tes sujette � controverse.

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