En r�ponse � la mise au point de M. Ouzani Kamel, occupant le poste de P/APC de Sidi-A�ch, parue dans les colonnes de votre journal (�dition du 16 juin 2009), dans laquelle ce dernier s'est livr� � une attaque en r�gle contre les �lus du RCD de l'assembl�e, nous vous prions de publier notre r�ponse.
L'auteur de la mise au point nous incrimine, nous citant personnellement, sur des questions toutes aussi fantaisistes les unes que les autres, relatives � la gestion des affaires de la commune. M. Ouzani nous accuse nomm�ment, sans pr�senter la moindre preuve, d'avoir �t� � l'origine, entre autres, du blocage de l'implantation d'un ch�teau d'eau sis � Ma�la, ce qui n'est que pure calomnie. Chose pour laquelle nous nous r�servons le droit d'entamer des poursuites judiciaires pour diffamation. Pour ce qui est des projets de r�alisation, M. Ouzani parle de �d�marrage� de certains projets, au moment o� tant de communes de la wilaya en r�ceptionnent. Plus fantaisiste encore, I'auteur du br�lot �voque l�am�nagement de la place Mohamed-Boudiat, alors que ladite place est rest�e � ce jour dans son �tat, d�labr�e, comme peuvent en t�moigner tous les citoyens de la ville. Sur sa lanc�e, M. Ouzani nous rend coupables des retards constat�s dans les travaux d'am�lioration urbaine. La question se pose ici : si deux �lus (sur neuf) de l'opposition seraient en mesure de bloquer une assembl�e communale dirig�e par une majorit�. Ne faudra-t-il pas, plut�t, imputer ces retards que l'auteur reconna�t au passage au premier responsable de l'APC, lequel ne quitte jamais son bureau que pour rejoindre sa voiture de service aux vitres fum�es, transform�e en tour d'ivoire. S'agissant des activit�s sportives au niveau de notre commune, les dirigeants et les athl�tes peuvent ais�ment t�moigner de la situation lamentable dans laquelle se trouve le mouvement sportif dans son ensemble. Plus loin, M. Ouzani, dans sa riposte � nos d�nonciations, reconna�t textuellement avoir proc�d� � l'am�nagement, en plus de son bureau et ceux de ses adjoints, de la salle de d�lib�rations. Des travaux qu'il a effectu�s, faut-il noter, suivant des proc�dures qui restent pour nous tout � fait obscures. En conclusion, nous tenons � rappeler � l'auteur de la mise au point que notre parcours et notre combat, connus de tous, nous classent parmi les enfants dignes de cette ville. Les Sidi- A�chois sauront distinguer les plus authentiques ; les douloureux �v�nements de 2001 sont encore vivaces dans les m�moires pour nous rappeler le r�le jou� par tout un chacun.
A bon entendeur salut !

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