Les habitants de Guelma sont contraints de subir les embouteillages, un fl�au qui va crescendo au fil des ann�es.

Chaque jour, un flot interminable de voitures qui se d�placent au ralenti avec � bord des conducteurs dans un �tat hyst�rique. La ville est malmen�e par ces bouchons, ses infrastructures routi�res ne r�pondant plus aux besoins de la croissance sociale. Des bouchons d�enfer bousculent le quotidien des Guelmis. Certes, on est encore loin des probl�mes des grandes villes d�Alg�rie o� le calvaire de la circulation devient traumatisant, mais au train o� vont les choses, on y arrive, ce qui pr�occupe la population. Malgr� la pr�sence des agents de la circulation, aux heures de pointe, diff�rents axes de la ville de Guelma deviennent infr�quentables, particuli�rement au niveau des boulevards du Volontariat, et du 1er-Novembre. Les v�hicules pris dans ces bouchons, moteurs non coup�s, consomment excessivement de carburant, polluent l�atmosph�re et affectent la sant� des riverains et des passants. Ces encombrements dans lesquels on s�englue et qui transforment les grandes art�res en parc de stationnement durant de longues heures ne sont pas li�s uniquement � une augmentation vertigineuse du parc automobile de la ville, mais aussi � l�absence de dispositions efficientes dans l�usage des art�res : les travaux anarchiques et inachev�s des voies publiques, et les pannes fr�quentes et prolong�es des feux tricolores. Les autorit�s municipales sont interpell�es � plus d�un titre.
Didine G.

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