La première école d’hiver algérienne sur la carte à puce AWSSC 2010 a débuté hier au Centre de développement des technologies avancées (CDTA), sis à Baba-Hassen (ouest d’Alger), sous l’égide de la Direction générale de la recherche scientifique et du développement technologique (DGRSDT), relevant du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique.
Durant cinq jours, une cinquantaine de chercheurs et industriels, nationaux et étrangers exerçant dans diverses disciplines, animeront des conférences sur les fonctionnalités, applications et les questions de sécurité et sécurisation des cartes à puce, ainsi que sur l’évolution technologique, industrielle et normative et la création de contenus en ce domaine. En d’autres termes, cette école d’hiver sera l’occasion de tout connaître sur la carte à puce dans le monde mais aussi en Algérie. Et ce notamment dans le contexte du boom de la téléphonie mobile et de la monétique, le développement des cartes dans le domaine de la santé, ainsi que le lancement de la carte d’identité et du passeport biométriques électroniques. La carte à puce se présente sous la forme d’un support fin, de petite dimension embarquant un circuit intégré dont le rôle est de conserver des informations, de les exploiter et de les communiquer. Relevons que cette école d’hiver complète l’école d’été algérienne sur la biométrie, organisée par le CDTA en mai 2010.
C. B.

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