Depuis quelques semaines, certains joueurs parmi les cadres de l’équipe ne sont pas en odeur de sainteté chez leur coach.
Chérif El- Ouazzani, qui n’apprécie pas les absences injustifiées, ne s’encombre pas pour autant, puisque, pour composer son 11 ou son groupe des 18 joueurs, il ne mise que sur ceux qui sont assidus à l’entraînement et les plus en forme. Ce qui ne le prémunit pas d’un retournement de situation, en cas d’intervention du président ou des dirigeants, lesquels continuent à avoir leur mot à dire concernant le volet technique. Connu pour ses principes, Chérif El-Ouazzani est souvent mis à l’épreuve. Comme lorsque la direction est allée chercher son jeune frère, Abdennour, de la JSK sans l’en aviser. Conforté par les résultats, le coach oranais est en position de force, car il a le soutien des fans du club et d’une grande partie des dirigeants. Ce qui n’est pas suffisant pour le rassurer tant ceux qui l’attendent au tournant sont nombreux, aussi bien au niveau du groupe, qu’à la direction ou parmi les fans. Et si, par malheur, l’équipe venait à subir des contre-performances, le bouc émissaire ne serait pas à chercher ailleurs que dans le banc de touche.
C. K.

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