Suite à notre Périscoop annonçant l’annulation du certificat de contrôle de qualité de la marchandise décidée par la Direction générale des changes de la Banque d’Algérie, le bureau Veritas Algeria vient de réagir et croit que cette mesure ne peut s’appliquer qu’à l'aspect bancaire de l’opération d’importation.
«La Banque d’Algérie ne peut se substituer aux exigences des services de l’inspection des fraudes aux frontières qui, eux, continuent à exiger des documents de contrôle de qualité et de conformité», a expliqué le bureau Veritas Algeria. Si, effectivement, on peut comprendre «l’affolement» de Veritas Algeria, puisqu’il s’agit de défendre une mesure qui lui génère une activité que l’on suppose juteuse, il est par contre à espérer que les autres institutions de la République se doivent de souscrire à la démarche initiée par la Banque d’Algérie pour mettre fin aux difficultés que rencontrent les importateurs.

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