A Haouch Makhfi, une localité de la wilaya de Boumerdès, l’eau potable fait défaut. C’est le cas pour les habitants de la cité Mezeraâ qui n’est pas pourvue de canalisations.
Contraints, les habitants de cette cité détournent le précieux liquide de la conduite principale qui dessert la capitale. Une situation qui perdure au su et vu de tout le monde, même des autorités locales, des services de sécurité et des services de l’hydraulique. Même si les habitants demandent l’installation de compteurs et sont disposés à payer leurs consommations, les autorités locales font, pourtant, la sourde oreille et les promesses de l’ancien président d’APC sont restées lettre morte. En attendant l’installation de conduites, les habitants sont contraints de recourir aux citernes, une solution néanmoins coûteuse. Et cela même si cette localité est pourvue en électricité et en infrastructures socioéconomiques.
C. B.

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