Le marchand de vin de Hydra s’est vu signifier, il y a quelques jours, la fermeture par les autorités de son commerce. Lorsqu’il se présenta à la wilaya pour en connaître les causes, on lui a répondu que le propriétaire était décédé.
Des témoins racontent que le commerçant n’en revenait pas d’apprendre sa propre mort. Il semble que cette «bourde» grotesque s’inscrit dans un cadre global de fermeture des établissements qui commercialisent les boissons alcoolisées, fortement encouragée, dit-on, par les hautes autorités de la Wilaya d’Alger.

Nombre de lectures :

Format imprimable