Le droit de réponse de la FAC
«Nous ne sommes pas enclins à polémiquer avec nos amis les professionnels de l’information, cependant, nous souhaitons apporter un démenti formel aux informations rapportées dans l’article paru dans votre édition du mercredi 10 avril, sous le titre «Il ne faut surtout pas se leurrer», et user de notre droit de réponse aux propos attribués à M. Hamza Malek et recueillis par votre journaliste sous les initiales de M. B. Mais avant d’aborder notre droit de réponse, bous tenons à vous informer que M. Hamza Malek a été renvoyé récemment de son club employeur, le club Sovac Algérie pour mauvais résultats. Ne sachant assumer ses échecs, M. Hamza a choisi la fédération pour jeter sur elle son fiel. Pathétique comme démarche, vous ne trouvez pas ? Quant aux certitudes de M. Hamza sur le Tour d’Algérie qu’il compare à un tour de wilaya, soit il feint d’ignorer les règlements de l’Union cycliste internationale ou bien il les ignore. Dans les deux cas, ce n’est pas sérieux d’un ancien cycliste au passé glorieux. En ce qui nous concerne, inutile de rajouter une couche sur le succès grandissant du Tour d’Algérie. Voici ce que la commission communication et information de l’Union cycliste internationale (UCI) a écrit et publié sur le site www.uci.ch-ch à la fin de l‘édition du Tour d’Algérie 2013 (...). Quant aux autres points soulevés par M. Hamza, la famille du cyclisme algérien sait qui a fait quoi pour cette discipline. Toutefois, nous tenons à préciser que M. Malek Hamza a été le premier technicien sollicité par la fédération pour prendre les destinées de la petite reine algérienne en 2009 suite à l’élection de Rachid Fezouine mais il avait refusé l’offre.

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