Habitant le quartier d’El-Yasmine, la petite Z.
Salssabil, âgée d’à peine 8 ans, est sortie samedi matin aux environs de
10h pour acheter du sucre chez l’épicier du coin alors qu’elle n’avait
pas encore pris son café. Sa famille a attendu son retour mais la petite
n’est jamais revenue.
Amel Bentolba - Oran (Le Soir) - Aussitôt, les recherches ont été entamées par sa famille et son voisinage. Après plusieurs tentatives de la retrouver, il était évident pour ses proches que la fillette venait d’être kidnappée et la police a aussitôt pris les choses en main. Quelques pistes du voisinage, laissant entendre que certains l’auraient vue en compagnie d’un voisin, ont vite orienté les investigations.
Très tôt dans la matinée d’hier, l’enfant a été retrouvée par les éboueurs qui effectuaient leur travail, au niveau d’un autre quartier celui de Sabah. Dans un communiqué, la protection civile fait savoir qu’aussitôt alertée, ses services se sont rendus sur les lieux et ont trouvé une fillette (Salssabil) dissimulée dans un grand sac en plastique et présentant des traces sur le cou, la jambe et le dos. Le corps sans vie a été retrouvé dans un immeuble, au premier étage d’un entrepôt pour voitures. De sources policières, l’on apprend que le bourreau a été arrêté. L’individu, âgé de 18 ans, n’est autre que le voisin de la fillette.
Selon les premiers éléments de l’enquête, le meurtrier a kidnappé puis violé l’enfant, puis il l’a étranglée et violentée en la mettant dans un grand sac-poubelle. Puis s’est mis à sa recherche avec les voisins et a fini par trouver le moment opportun pour se débarrasser du corps.
Selon les premières déclarations de la mère qui criait de toutes ses forces «si dès les premiers assassinats d’enfants les bourreaux étaient exécutés on n’en serait pas là !». La mère, horrifiée, raconte que sa fille était sortie sans même avoir pris une gorgée d’eau et n’est pas allée loin, l’épicier étant mitoyen avec l’immeuble. Puis elle décrit l’état dans lequel elle a vu le corps sans vie de sa fille : «Elle avait des traces sur le visage et avait plusieurs bleus et quand je l’ai embrassée, elle a ouvert les yeux… Il y a plein de femmes qui seraient pour ce type de relations, pourquoi il a eu envie de mon enfant.»
La famille de Salssabil, comme toutes les autres familles d’enfants violés et assassinés, demande la peine de mort contre celui qui a ôté la vie à leur fillette.
A. B.
Amel Bentolba - Oran (Le Soir) - Aussitôt, les recherches ont été entamées par sa famille et son voisinage. Après plusieurs tentatives de la retrouver, il était évident pour ses proches que la fillette venait d’être kidnappée et la police a aussitôt pris les choses en main. Quelques pistes du voisinage, laissant entendre que certains l’auraient vue en compagnie d’un voisin, ont vite orienté les investigations.
Très tôt dans la matinée d’hier, l’enfant a été retrouvée par les éboueurs qui effectuaient leur travail, au niveau d’un autre quartier celui de Sabah. Dans un communiqué, la protection civile fait savoir qu’aussitôt alertée, ses services se sont rendus sur les lieux et ont trouvé une fillette (Salssabil) dissimulée dans un grand sac en plastique et présentant des traces sur le cou, la jambe et le dos. Le corps sans vie a été retrouvé dans un immeuble, au premier étage d’un entrepôt pour voitures. De sources policières, l’on apprend que le bourreau a été arrêté. L’individu, âgé de 18 ans, n’est autre que le voisin de la fillette.
Selon les premiers éléments de l’enquête, le meurtrier a kidnappé puis violé l’enfant, puis il l’a étranglée et violentée en la mettant dans un grand sac-poubelle. Puis s’est mis à sa recherche avec les voisins et a fini par trouver le moment opportun pour se débarrasser du corps.
Selon les premières déclarations de la mère qui criait de toutes ses forces «si dès les premiers assassinats d’enfants les bourreaux étaient exécutés on n’en serait pas là !». La mère, horrifiée, raconte que sa fille était sortie sans même avoir pris une gorgée d’eau et n’est pas allée loin, l’épicier étant mitoyen avec l’immeuble. Puis elle décrit l’état dans lequel elle a vu le corps sans vie de sa fille : «Elle avait des traces sur le visage et avait plusieurs bleus et quand je l’ai embrassée, elle a ouvert les yeux… Il y a plein de femmes qui seraient pour ce type de relations, pourquoi il a eu envie de mon enfant.»
La famille de Salssabil, comme toutes les autres familles d’enfants violés et assassinés, demande la peine de mort contre celui qui a ôté la vie à leur fillette.
A. B.
