Malgré un mercure frôlant les 40° Celsius, des
milliers de Sétifiens sont sortis hier vendredi, en ce jour particulier.
Celui du 57e anniversaire de l’Indépendance du pays. Un jour de fête et
de lutte plus de cinq mois pour restituer le pouvoir au peuple.
Hier, les Sétifiens sont sortis encore une fois pour répondre par un refus net et catégorique aux propositions de dialogue annoncées par le chef de l’Etat, Abdelkader Bensalah, et de réclamer le départ du système et de ses symboles. «Pas de dialogue tant que la bande de maffieux est au pouvoir».
En présence d’un important dispositif policier, les manifestants ont réitéré leurs principales revendications, celles du départ de Noureddine Bedoui et de son gouvernement et la libération de tous les détenus d’opinion notamment ceux du Hirak et aussi la libération du moudjahid Lakhdar Bouregaâ.
Les manifestants n’ont cessé également d’appeler à une Algérie libre, unie, et démocratique, à un Etat civil.
Imed Sellami
Hier, les Sétifiens sont sortis encore une fois pour répondre par un refus net et catégorique aux propositions de dialogue annoncées par le chef de l’Etat, Abdelkader Bensalah, et de réclamer le départ du système et de ses symboles. «Pas de dialogue tant que la bande de maffieux est au pouvoir».
En présence d’un important dispositif policier, les manifestants ont réitéré leurs principales revendications, celles du départ de Noureddine Bedoui et de son gouvernement et la libération de tous les détenus d’opinion notamment ceux du Hirak et aussi la libération du moudjahid Lakhdar Bouregaâ.
Les manifestants n’ont cessé également d’appeler à une Algérie libre, unie, et démocratique, à un Etat civil.
Imed Sellami
