Les familles des cinq jeunes migrants clandestins ont
tenu ces derniers jours un sit-in de protestation devant le siège de la
Wilaya pour interpeller les autorités locales et le premier magistrat du
pays en vue d’intervenir auprès des autorités libyennes afin de les
libérer des prisons libyennes, a-t-on constaté sur les lieux . Ces
immigrants clandestins, dont l’âge varie entre 25 et 32 ans et
originaires de quartiers de la ville de Jijel, avaient tenté vainement
de rejoindre l’île italienne de la Sardaigne à partir des côtes
libyennes mais ils ont été interceptés par les forces aériennes de ce
pays, a affirmé un proche de ces migrants qui ont été portés disparus
depuis plus de trois mois sans informer leurs familles.
Notre jeune interlocuteur a ajouté que ces jeunes harragas, dont certains sont originaires du quartier populaire de Village Moussa, ont été maltraités et tabassés par les services de sécurité de ce pays après leur arrestation en situation irrégulière sur le sol libyen.
On apprend, par ailleurs, que la famille de l’un de ces jeunes a reçu un appel de son fils qui l’avait informé qu’il est emprisonné en Libye l’exhortant d’entamer les démarches nécessaires pour le faire sortir des geôles libyennes.
Face à ce calvaire qui perdure depuis plusieurs mois, ces familles lancent un appel de détresse à qui de droit pour faire sortir ces jeunes des geôles libyennes.
Bouhali Mohammed Cherif
Notre jeune interlocuteur a ajouté que ces jeunes harragas, dont certains sont originaires du quartier populaire de Village Moussa, ont été maltraités et tabassés par les services de sécurité de ce pays après leur arrestation en situation irrégulière sur le sol libyen.
On apprend, par ailleurs, que la famille de l’un de ces jeunes a reçu un appel de son fils qui l’avait informé qu’il est emprisonné en Libye l’exhortant d’entamer les démarches nécessaires pour le faire sortir des geôles libyennes.
Face à ce calvaire qui perdure depuis plusieurs mois, ces familles lancent un appel de détresse à qui de droit pour faire sortir ces jeunes des geôles libyennes.
Bouhali Mohammed Cherif