Pour ce quatorzième vendredi consécutif, les habitants de Blida ont
marché pacifiquement hier pour exprimer leurs opinions sur la situation
politique qui prévaut dans le pays où un grand nombre des slogans
faisait état du vœu du peuple d’être gouverné par un pouvoir civil, d’où
leur insistance sur l’application des articles 7 et 8 de la
constitution, est-il écrit sur les pancartes brandis par les
manifestants.
En effet, tous les citoyens qui ont marché hier étaient unanimes à scander presque le même slogan à savoir qu’ils aspirent à être gouvernés par des civils.
Sur un autre plan, les manifestants sont revenus hier sur leur refus quant à l’élection présidentielle prévue le 4 juillet prochain. «Non à l’élection le 4 juillet» et «Non aux élections avec l’actuel gouvernement», est-il écrit.
Tout comme ils insistaient sur le respect de la souveraineté du peuple. D’autres slogans avaient trait à la révolution algérienne où il a été noté : «Ya Amirouche ya El Haouès, edzaîr mahich labès» (Ô Amirouche, ô El-haouès, l’Algérie n’est pas bien».
Par contre, d’autres avaient brandi des pancartes où l’on pouvait lire : «Le peuple algérien est libre et tient à ce qu’il reste libre», ou bien «Pas de dialogue avec ceux qui ont causé notre perte».
Dans la foulée, certains manifestants avaient tenu à faire prévaloir l’union du peuple pour laquelle ils ont écrit : «Par l’union nous vaincrons, et par la désunion nous nous briserons».
Enfin, quelques citoyens s’en sont pris à certains partis politiques qu’ils ont accusés de trahison et dont ils demandent leur traduction devant les tribunaux.
M. B.
En effet, tous les citoyens qui ont marché hier étaient unanimes à scander presque le même slogan à savoir qu’ils aspirent à être gouvernés par des civils.
Sur un autre plan, les manifestants sont revenus hier sur leur refus quant à l’élection présidentielle prévue le 4 juillet prochain. «Non à l’élection le 4 juillet» et «Non aux élections avec l’actuel gouvernement», est-il écrit.
Tout comme ils insistaient sur le respect de la souveraineté du peuple. D’autres slogans avaient trait à la révolution algérienne où il a été noté : «Ya Amirouche ya El Haouès, edzaîr mahich labès» (Ô Amirouche, ô El-haouès, l’Algérie n’est pas bien».
Par contre, d’autres avaient brandi des pancartes où l’on pouvait lire : «Le peuple algérien est libre et tient à ce qu’il reste libre», ou bien «Pas de dialogue avec ceux qui ont causé notre perte».
Dans la foulée, certains manifestants avaient tenu à faire prévaloir l’union du peuple pour laquelle ils ont écrit : «Par l’union nous vaincrons, et par la désunion nous nous briserons».
Enfin, quelques citoyens s’en sont pris à certains partis politiques qu’ils ont accusés de trahison et dont ils demandent leur traduction devant les tribunaux.
M. B.
