Après près d'une année de manifestations
hebdomadaires continues contre le système, le mouvement populaire est
loin de s'essouffler à Béjaïa.
Pour preuve, l'extraordinaire mobilisation citoyenne observée en ce 48e vendredi de suite au niveau du chef-lieu de wilaya, avec le même engagement et une ferme détermination à maintenir la pression sur les tenants du pouvoir jusqu'au départ du régime et l'ensemble de ses anciennes figures.
En effet, comme pour les précédentes manifestations depuis la révolte populaire de février dernier, des milliers de personnes, venues des quatre coins de la wilaya, se sont retrouvées au lieu habituel de l’entame de la marche, au niveau de l’esplanade de la Maison de la culture, pour crier leur colère contre le pouvoir et réitérer leur revendication majeure en faveur d’un changement radical du système.
Tout au long du parcours de la marche, l’imposante foule a scandé des slogans habituels du mouvement, à savoir «Un Etat civil et non militaire» tout en fustigeant les tenants du pouvoir qui, a-t-on clamé, ont «confisqué l’indépendance du peuple».
Tout en appelant à la libération de l’ensemble des autres détenus d’opinion , la rue bédjaouie a une nouvelle fois exprimé son rejet de la présidentielle et l’élection de Abdelmadjid Tebboune qu’elle estime s’inscrire dans «la pérennité » du même régime politique décrié depuis une année.
Dans une ambiance joyeuse , les manifestants ont également brandi des banderoles et autres pancartes traduisant les aspirations citoyennes en faveur de la consécration de la souveraineté populaire , l’avènement d’un véritable Etat de droit, des libertés, de la justice et des égalités, ainsi que pour la libération de la presse et la séparation des pouvoirs.
A. Kersani
Pour preuve, l'extraordinaire mobilisation citoyenne observée en ce 48e vendredi de suite au niveau du chef-lieu de wilaya, avec le même engagement et une ferme détermination à maintenir la pression sur les tenants du pouvoir jusqu'au départ du régime et l'ensemble de ses anciennes figures.
En effet, comme pour les précédentes manifestations depuis la révolte populaire de février dernier, des milliers de personnes, venues des quatre coins de la wilaya, se sont retrouvées au lieu habituel de l’entame de la marche, au niveau de l’esplanade de la Maison de la culture, pour crier leur colère contre le pouvoir et réitérer leur revendication majeure en faveur d’un changement radical du système.
Tout au long du parcours de la marche, l’imposante foule a scandé des slogans habituels du mouvement, à savoir «Un Etat civil et non militaire» tout en fustigeant les tenants du pouvoir qui, a-t-on clamé, ont «confisqué l’indépendance du peuple».
Tout en appelant à la libération de l’ensemble des autres détenus d’opinion , la rue bédjaouie a une nouvelle fois exprimé son rejet de la présidentielle et l’élection de Abdelmadjid Tebboune qu’elle estime s’inscrire dans «la pérennité » du même régime politique décrié depuis une année.
Dans une ambiance joyeuse , les manifestants ont également brandi des banderoles et autres pancartes traduisant les aspirations citoyennes en faveur de la consécration de la souveraineté populaire , l’avènement d’un véritable Etat de droit, des libertés, de la justice et des égalités, ainsi que pour la libération de la presse et la séparation des pouvoirs.
A. Kersani
