Le Parti des travailleurs avertit contre les dangers qui
guettent le pays mais également la région dans son ensemble, du fait de
la présence militaire sioniste à nos frontières avec le voisin de
l’Ouest.
M. Kebci - Alger (Le Soir) - Dans un communiqué sanctionnant la réunion hebdomadaire du secrétariat de son bureau politique, le parti que préside Louisa Hanoune regrette «les plus grands dangers qui guettent notre région en général et notre pays en particulier , du fait de la présence y compris militaire, de l’entité sioniste à nos frontières ouest».
Ce qui dicte, selon lui, «l’urgence de renforcer les ressorts de la Nation par des politiques conformes aux aspirations et aux attentes de la majorité du peuple».
Un contexte donc explosif que, regrette encore le PT, a choisi le gouvernement qui ne semble pas mesurer la gravité de ses décisions et les risques qu’elles font peser sur la stabilité de notre pays».
Pour le PT, rien n’explique «qu’il poursuive la répression tous azimuts des libertés, les arrestations pour délits d’opinion» ou encore qu’il ose faire ce que nul autre gouvernement n’a osé faire avant lui depuis l’indépendance, y compris lorsque le FMI et la Banque mondiale imposaient leurs potions mortelles, à savoir supprimer dans la LF à travers l’article 187 les transferts sociaux, c’est-à-dire le soutien de l’État aux produits alimentaires de première nécessité et les subventions aux prix du gaz, de l’électricité, de l’eau, des transports, du soutien aux secteurs de la santé, de l’éducation nationale, du logement… ce qui va donner le coup de grâce à toutes les conquêtes du peuple algérien arrachées au prix de 1,5 million de martyrs, accélérer l’effondrement social en cours et détruire ce qui reste comme liens positifs entre les citoyens et l’État».
M. K.
M. Kebci - Alger (Le Soir) - Dans un communiqué sanctionnant la réunion hebdomadaire du secrétariat de son bureau politique, le parti que préside Louisa Hanoune regrette «les plus grands dangers qui guettent notre région en général et notre pays en particulier , du fait de la présence y compris militaire, de l’entité sioniste à nos frontières ouest».
Ce qui dicte, selon lui, «l’urgence de renforcer les ressorts de la Nation par des politiques conformes aux aspirations et aux attentes de la majorité du peuple».
Un contexte donc explosif que, regrette encore le PT, a choisi le gouvernement qui ne semble pas mesurer la gravité de ses décisions et les risques qu’elles font peser sur la stabilité de notre pays».
Pour le PT, rien n’explique «qu’il poursuive la répression tous azimuts des libertés, les arrestations pour délits d’opinion» ou encore qu’il ose faire ce que nul autre gouvernement n’a osé faire avant lui depuis l’indépendance, y compris lorsque le FMI et la Banque mondiale imposaient leurs potions mortelles, à savoir supprimer dans la LF à travers l’article 187 les transferts sociaux, c’est-à-dire le soutien de l’État aux produits alimentaires de première nécessité et les subventions aux prix du gaz, de l’électricité, de l’eau, des transports, du soutien aux secteurs de la santé, de l’éducation nationale, du logement… ce qui va donner le coup de grâce à toutes les conquêtes du peuple algérien arrachées au prix de 1,5 million de martyrs, accélérer l’effondrement social en cours et détruire ce qui reste comme liens positifs entre les citoyens et l’État».
M. K.
