L’expert en informatique Younès Guerrar a affirmé
hier mercredi que le monde a connu un importante révolution numérique
qui a bouleversé la vie des gens dans différentes régions du monde.
Le conférencier a ajouté, lors des premières assises nationales sur la sécurité informatique et les réseaux sociaux organisées par l’association culturelle Jawaherat el sahel en coordination avec le club informatique de l’université Mohamed-Seddik-Benyahia, que les hommes les plus riches dans le monde sont ceux qui ont investi dans le secteur informatique et les supports numériques dont le commerce brasse des milliards de dollars. Guerrar Younès, en spécialiste en la matière, a fait une petite comparaison entre le constructeur français de l’automobile, en l’occurrence Renault existant depuis 100 ans et comptant un effectif de 100 000 travailleurs , dont la cote en bourse en 2014 a atteint 12 milliards de dollars et l’application WhatsApp dont le personnel ne dépasse pas 55 travailleurs a été achetée par Facebook durant la même période pour 19 milliards de dollars. Poursuivant son intervention sur les grands enjeux économiques de cette révolution numérique, il a cité la plateforme électronique chinoise de vente en ligne Ali Baba qui a fait un chiffre d’affaires de 30 milliards de dollars en 2018 en une journée lors de la journée des célibataires qui se tient annuellement le 11 novembre. selon lui, des chiffres colossaux traduisent la complexité des enjeux vitaux de cette économie numérique citant, à cet effet, la rivalité sino-américaine concernant la guerre des applications et des logiciels qui fait rage. Que faire face au flux de cette révolution numérique ? s’interrogeait l’expert Guerrar Younès. faut-il résister ou exprimer notre soumission ? A ses yeux, «il faut une politique globale pour la sécurité informatique qui est l’affaire de tous les segments de la société. Elle n’est pas seulement une affaire de la gendarmerie nationale ou de la justice .C’est une affaire de tous : l’école, la famille, l’université, les banques. il faut un suivi rigoureux et continu, se servir de ces outils d’une manière intelligente. On doit introduire la culture de la sécurité informatique dans le système éducatif. on doit l’introduire dès l’étape préparatoire. On doit expliquer aux enfants si les pages Facebook sont sécurisées ou non ». L’orateur a insisté également sur la mise à jour des textes juridiques pour combattre la cybercriminalité et sur un travail de sensibilisation. 21 wilayas ont pris part à ces premières assises nationales sur la sécurité informatique qui ont permis de lever le voile sur les grands enjeux économiques et stratégiques de la révolution numérique qui est loin d’être un jeu de clic.
Bouhali Mohammed Cherif
Le conférencier a ajouté, lors des premières assises nationales sur la sécurité informatique et les réseaux sociaux organisées par l’association culturelle Jawaherat el sahel en coordination avec le club informatique de l’université Mohamed-Seddik-Benyahia, que les hommes les plus riches dans le monde sont ceux qui ont investi dans le secteur informatique et les supports numériques dont le commerce brasse des milliards de dollars. Guerrar Younès, en spécialiste en la matière, a fait une petite comparaison entre le constructeur français de l’automobile, en l’occurrence Renault existant depuis 100 ans et comptant un effectif de 100 000 travailleurs , dont la cote en bourse en 2014 a atteint 12 milliards de dollars et l’application WhatsApp dont le personnel ne dépasse pas 55 travailleurs a été achetée par Facebook durant la même période pour 19 milliards de dollars. Poursuivant son intervention sur les grands enjeux économiques de cette révolution numérique, il a cité la plateforme électronique chinoise de vente en ligne Ali Baba qui a fait un chiffre d’affaires de 30 milliards de dollars en 2018 en une journée lors de la journée des célibataires qui se tient annuellement le 11 novembre. selon lui, des chiffres colossaux traduisent la complexité des enjeux vitaux de cette économie numérique citant, à cet effet, la rivalité sino-américaine concernant la guerre des applications et des logiciels qui fait rage. Que faire face au flux de cette révolution numérique ? s’interrogeait l’expert Guerrar Younès. faut-il résister ou exprimer notre soumission ? A ses yeux, «il faut une politique globale pour la sécurité informatique qui est l’affaire de tous les segments de la société. Elle n’est pas seulement une affaire de la gendarmerie nationale ou de la justice .C’est une affaire de tous : l’école, la famille, l’université, les banques. il faut un suivi rigoureux et continu, se servir de ces outils d’une manière intelligente. On doit introduire la culture de la sécurité informatique dans le système éducatif. on doit l’introduire dès l’étape préparatoire. On doit expliquer aux enfants si les pages Facebook sont sécurisées ou non ». L’orateur a insisté également sur la mise à jour des textes juridiques pour combattre la cybercriminalité et sur un travail de sensibilisation. 21 wilayas ont pris part à ces premières assises nationales sur la sécurité informatique qui ont permis de lever le voile sur les grands enjeux économiques et stratégiques de la révolution numérique qui est loin d’être un jeu de clic.
Bouhali Mohammed Cherif
