Passé une
période assez courte d'incrédulité à l'égard de la menace et des dangers
mortels du Covid-19, les habitants ont vite fini par adapter les mesures
de protection élémentaires, à savoir le port des gants et le masque dans
la vie publique sans rien changer à leurs habitudes de déplacements,
puis rapidement, tout le monde a appris que ces mesures n'étaient pas
suffisantes pour se prémunir des dangers réels même pour les plus
sceptiques.
Aussi, quand les spécialistes et les hautes autorités du pays ont pris des mesures plus draconiennes pour arrêter le processus de contamination, au fil des jours pour ne pas dire des heures, le confinement s'est installé et, avec lui, l'arrêt presque total des échanges, des visites et la fréquentation des lieux publics et surtout rester chez soi. Conséquences : toutes les rues, même dans les bourgades, se sont vidées, surtout avec la fermeture des lieux où sévissaient la promiscuité et les contacts directs.
A noter aussi que dès le début de la semaine écoulée, des moments de panique ont poussé les habitants à se ruer sur les grandes surfaces pour s'approvisionner en produits de première nécessité et de grande consommation. Cette ruée n’a pas duré longtemps à partir du moment où les magasins sont restés ouverts et ont adopté les mesures préventives, surtout celle de diminuer au maximum l'entrée dans ces lieux ,les clients étant servis pratiquement à l'extérieur en observant les séparations par les distances prescrites. Par ailleurs, la lutte s'est engagée contre l'ennemi présent menaçant mais invisible et ce, par des opérations de désinfection et d'aseptisation des espaces publics avec tous les moyens disponibles.
Services publics et citoyens se sont engagés dans ces opérations. Notamment la Protection civile qui a effectué des opérations de salubrité, de désinfection et d'aseptisation des espaces dans bon nombre de communes telles que Khemis Miliana, L'ADE, la Direction de l'environnement, en collaboration avec les associations de villes et de quartiers, se sont impliquées dans ces opérations. La Protection civile a, en outre, procédé, avec ses engins et ses agents, à la désinfection des édifices publics tels que les bâtiments administratifs (wilaya, daïras, commissariat et brigades de gendarmerie).
Certes, ce bouleversement total de la vie communautaire est durement ressenti, mais l'instinct de conservation est plus fort et tout le monde se plie et s'adapte à ces changements qui obligent chacun de nous à se remettre en question et à remettre en question ses habitudes .
Karim O.
Aussi, quand les spécialistes et les hautes autorités du pays ont pris des mesures plus draconiennes pour arrêter le processus de contamination, au fil des jours pour ne pas dire des heures, le confinement s'est installé et, avec lui, l'arrêt presque total des échanges, des visites et la fréquentation des lieux publics et surtout rester chez soi. Conséquences : toutes les rues, même dans les bourgades, se sont vidées, surtout avec la fermeture des lieux où sévissaient la promiscuité et les contacts directs.
A noter aussi que dès le début de la semaine écoulée, des moments de panique ont poussé les habitants à se ruer sur les grandes surfaces pour s'approvisionner en produits de première nécessité et de grande consommation. Cette ruée n’a pas duré longtemps à partir du moment où les magasins sont restés ouverts et ont adopté les mesures préventives, surtout celle de diminuer au maximum l'entrée dans ces lieux ,les clients étant servis pratiquement à l'extérieur en observant les séparations par les distances prescrites. Par ailleurs, la lutte s'est engagée contre l'ennemi présent menaçant mais invisible et ce, par des opérations de désinfection et d'aseptisation des espaces publics avec tous les moyens disponibles.
Services publics et citoyens se sont engagés dans ces opérations. Notamment la Protection civile qui a effectué des opérations de salubrité, de désinfection et d'aseptisation des espaces dans bon nombre de communes telles que Khemis Miliana, L'ADE, la Direction de l'environnement, en collaboration avec les associations de villes et de quartiers, se sont impliquées dans ces opérations. La Protection civile a, en outre, procédé, avec ses engins et ses agents, à la désinfection des édifices publics tels que les bâtiments administratifs (wilaya, daïras, commissariat et brigades de gendarmerie).
Certes, ce bouleversement total de la vie communautaire est durement ressenti, mais l'instinct de conservation est plus fort et tout le monde se plie et s'adapte à ces changements qui obligent chacun de nous à se remettre en question et à remettre en question ses habitudes .
Karim O.
