«Le pouvoir veut instaurer un monologue afin de reproduire le système
Bouteflika», tel était le grand titre mis en relief par les manifestants
présents, ce vendredi 26 juillet, correspondant au 23e acte des marches
pour la liberté et la démocratie en Algérie, entamé par le peuple, il y
a plus de 5 mois maintenant !
Le nombre n’est, certes, pas identique à la mobilisation des grands jours, canicule et grandes vacances obligent, mais les quelques centaines de présents, en ce vendredi 26 juillet, n’ont pas dérogé à la règle revendicative en se faisant bien entendre par les slogans de «Madania machi askaria (Pour un Etat civil pas militaire)» et autres banderoles, pancartes et écriteaux soulevés, durant la marche qui les a menés du lieu de rendez-vous (carré des Martyrs à Aïn Siah) jusqu’au rond-point de la sortie ouest (vers Ferdjioua), puis durant tout le rassemblement tenu en plein centre-ville, à proximité du square et du siège de l’APC.
Dénonçant tous les représentants du pouvoir actuel, à commencer par le chef d’état-major, le chef de l’Etat ainsi que le chef du gouvernement, les manifestants se disent décidés à ne pas plier jusqu’à la satisfaction totale des principales revendications du peuple algérien !
Et comme d’habitude, les manifestants se sont dispersés dans le calme en se donnant rendez-vous pour le vendredi prochain, si aucun signe d’apaisement ne se manifeste d’ici là !
A. M’haimoud
Le nombre n’est, certes, pas identique à la mobilisation des grands jours, canicule et grandes vacances obligent, mais les quelques centaines de présents, en ce vendredi 26 juillet, n’ont pas dérogé à la règle revendicative en se faisant bien entendre par les slogans de «Madania machi askaria (Pour un Etat civil pas militaire)» et autres banderoles, pancartes et écriteaux soulevés, durant la marche qui les a menés du lieu de rendez-vous (carré des Martyrs à Aïn Siah) jusqu’au rond-point de la sortie ouest (vers Ferdjioua), puis durant tout le rassemblement tenu en plein centre-ville, à proximité du square et du siège de l’APC.
Dénonçant tous les représentants du pouvoir actuel, à commencer par le chef d’état-major, le chef de l’Etat ainsi que le chef du gouvernement, les manifestants se disent décidés à ne pas plier jusqu’à la satisfaction totale des principales revendications du peuple algérien !
Et comme d’habitude, les manifestants se sont dispersés dans le calme en se donnant rendez-vous pour le vendredi prochain, si aucun signe d’apaisement ne se manifeste d’ici là !
A. M’haimoud