Malgré la chaleur et malgré les différentes
tentatives de démobilisation du mouvement populaire entamé depuis le 22
février dernier, les Sétifiens étaient, hier, dans la rue pour leur 21e
vendredi de contestation pacifique où le seul mot d’ordre était « Etat
civil et non militaire ».
Les pancartes brandies et les slogans scandés par l’immense foule agglutinée hier en face du siège de la Wilaya portaient tous sur la nécessité d’instaurer un « état de droit, un Etat civil et non militaire et dont le pouvoir, la souveraineté et la prise de décision incombe au peuple et seulement au peuple ».
Egalement et durant leur rassemblement, les Sétifiens n’ont cessé d’appeler à la libération immédiate du moudjahid Lakhdar Bouregaâ, commandant de la Wilaya IV historique, qui selon eux est « injustement incarcéré par un pouvoir illégitime ».
La rue sétifienne a aussi averti qu’il n’y aura pas « de dialogue ni d’élections en dehors du cadre des revendications populaires ».
Imed Sellami
Les pancartes brandies et les slogans scandés par l’immense foule agglutinée hier en face du siège de la Wilaya portaient tous sur la nécessité d’instaurer un « état de droit, un Etat civil et non militaire et dont le pouvoir, la souveraineté et la prise de décision incombe au peuple et seulement au peuple ».
Egalement et durant leur rassemblement, les Sétifiens n’ont cessé d’appeler à la libération immédiate du moudjahid Lakhdar Bouregaâ, commandant de la Wilaya IV historique, qui selon eux est « injustement incarcéré par un pouvoir illégitime ».
La rue sétifienne a aussi averti qu’il n’y aura pas « de dialogue ni d’élections en dehors du cadre des revendications populaires ».
Imed Sellami