La population est au rendez-vous. Déterminée à aller
jusqu’au bout. Une foule immense venue de partout s’est rassemblée
devant l’esplanade de la mairie et de ses environs au centre-ville de
Mostaganem ce vendredi 12 avril et ce, bien même avant l’horaire du
départ de la marche prévue à 14 heures.
Les vendredis se succèdent et la volonté des Algériens reste ferme. L’esplanade de la mairie conserve son rôle de lieu de rendez-vous où les manifestants : hommes, femmes, jeunes, enfants et vieux et des familles entières se rencontrent pour la marche pacifique.
Les manifestants, munis de drapeaux nationaux et de pancartes portant des inscriptions hostiles au régime, ont de nouveau convergé en masse dans les principales artères de la ville afin d’empêcher les anciens fidèles du Président déchu de gérer la transition.
Tout au long des trajets, les manifestants ont appelé au départ immédiat des hommes clés de l’ancien appareil les 3-B (Bensalah,Bedoui et Belaïz) à qui la Constitution a confié la gestion du processus d’intérim.
Les principaux slogans scandés par les manifestants « Nous voulons qu’ils partent tous » « Koul youm massira » (chaque jour une marche) « Silmia silmia » (pacifique pacifique), criaient les manifestants.
Les dispositifs sécuritaires déployés ont été discrets mais d’importantes forces de police BRI et anti-émeutes se sont déployées au centre-ville mais l’ambiance était détendue et tout s’est déroulé dans le calme.
A. Bensadok
Les vendredis se succèdent et la volonté des Algériens reste ferme. L’esplanade de la mairie conserve son rôle de lieu de rendez-vous où les manifestants : hommes, femmes, jeunes, enfants et vieux et des familles entières se rencontrent pour la marche pacifique.
Les manifestants, munis de drapeaux nationaux et de pancartes portant des inscriptions hostiles au régime, ont de nouveau convergé en masse dans les principales artères de la ville afin d’empêcher les anciens fidèles du Président déchu de gérer la transition.
Tout au long des trajets, les manifestants ont appelé au départ immédiat des hommes clés de l’ancien appareil les 3-B (Bensalah,Bedoui et Belaïz) à qui la Constitution a confié la gestion du processus d’intérim.
Les principaux slogans scandés par les manifestants « Nous voulons qu’ils partent tous » « Koul youm massira » (chaque jour une marche) « Silmia silmia » (pacifique pacifique), criaient les manifestants.
Les dispositifs sécuritaires déployés ont été discrets mais d’importantes forces de police BRI et anti-émeutes se sont déployées au centre-ville mais l’ambiance était détendue et tout s’est déroulé dans le calme.
A. Bensadok
