Hommes, femmes, jeunes et moins jeunes ont manifesté
ce vendredi pour la cinquième fois consécutive à Relizane.
Banderoles, pancartes et slogans ont caractérisé les différents déferlements, non seulement au centre-ville de Relizane , mais aux chefs-lieux de daïras de Relizane , animés par des centaines de personnes entre hommes,femmes,jeunes et aussi moins jeunes, dont beaucoup étaient drapés de l’emblème national ou portaient des casquettes de couleur vert-blanc- rouge.
Ils ont notamment scandé «Pas de continuité du 4e mandat». Ces derniers, à l’unisson, ont scandé des slogans hostiles au 4e mandat et aux auteurs des lettres anonymes lues au nom du Président. «FLN dégage», «Non au pouvoir oligarchique» et «Oui pour une Algérie libre et indépendante», pouvait-on lire sur plusieurs banderoles.
Les manifestants dénoncent «une Constitution de non-droit» et clament haut et fort qu’ils sont déterminés à «accompagner le peuple vers une Algérie plus libre». «Aller à l’encontre de la Constitution et de la loi électorale est une trahison de haut niveau», estime un avocat. Il ajoute qu’il «est temps de respecter la voix du peuple».
Arborant le drapeau algérien pour de nombreux d’entre eux, les robes noires ont scandé des slogans hostiles au pouvoir, popularisés par les marches populaires des trois dernières semaines.
Les manifestants ont sillonné les principales artères de la ville de Relizane passant par le grand boulevard Mohamed-Khemisti en allant vers le nouveau siège de la Maison de la culture où un important dispositif de police a été déployé.
A. Rahmane
Banderoles, pancartes et slogans ont caractérisé les différents déferlements, non seulement au centre-ville de Relizane , mais aux chefs-lieux de daïras de Relizane , animés par des centaines de personnes entre hommes,femmes,jeunes et aussi moins jeunes, dont beaucoup étaient drapés de l’emblème national ou portaient des casquettes de couleur vert-blanc- rouge.
Ils ont notamment scandé «Pas de continuité du 4e mandat». Ces derniers, à l’unisson, ont scandé des slogans hostiles au 4e mandat et aux auteurs des lettres anonymes lues au nom du Président. «FLN dégage», «Non au pouvoir oligarchique» et «Oui pour une Algérie libre et indépendante», pouvait-on lire sur plusieurs banderoles.
Les manifestants dénoncent «une Constitution de non-droit» et clament haut et fort qu’ils sont déterminés à «accompagner le peuple vers une Algérie plus libre». «Aller à l’encontre de la Constitution et de la loi électorale est une trahison de haut niveau», estime un avocat. Il ajoute qu’il «est temps de respecter la voix du peuple».
Arborant le drapeau algérien pour de nombreux d’entre eux, les robes noires ont scandé des slogans hostiles au pouvoir, popularisés par les marches populaires des trois dernières semaines.
Les manifestants ont sillonné les principales artères de la ville de Relizane passant par le grand boulevard Mohamed-Khemisti en allant vers le nouveau siège de la Maison de la culture où un important dispositif de police a été déployé.
A. Rahmane
