Le mouvement populaire a été au rendez-vous, à Sétif, pour le 23e
vendredi consécutif afin de poursuivre ses revendications pour le
changement et pour une Algérie nouvelle.
Malgré tous les aléas, la détermination des Sétifiens à la poursuite du mouvement de contestation déclenché depuis le 22 février dernier, est toujours intacte. Toujours au rendez-vous, dès 14h, les manifestants se sont rassemblés devant le siège de la wilaya de Sétif, leur terrain de prédilection. A l’omniprésent mot d’ordre «Système dégage», deux autres slogans de ralliement ont fait leur apparition lors de la manifestation d’hier : «Y en a marre de ce pouvoir» et «Le peuple veut l’indépendance» largement scandés par des centaines de Sétifiens qui ont bravés, encore une fois, la canicule pour faire entendre leurs voix.
Les Sétifiens ont également affiché leur refus aux propositions de dialogue prôné par le chef de l’Etat, Abdelkader Bensalah, ainsi que leur rejet du panel de personnalités chargé par le pouvoir de mener le processus de dialogue.
«Pas de dialogue tant que la bande de maffieux est au pouvoir». Telle était la réponse des Sétifiens hier à l’adresse de Bensalah.
En présence d’un important dispositif policier, les manifestants ont réitéré leurs principales revendications, celles du départ de Noureddine Bedoui et de son gouvernement et la libération de tous les détenus d’opinion.
I. S.
Malgré tous les aléas, la détermination des Sétifiens à la poursuite du mouvement de contestation déclenché depuis le 22 février dernier, est toujours intacte. Toujours au rendez-vous, dès 14h, les manifestants se sont rassemblés devant le siège de la wilaya de Sétif, leur terrain de prédilection. A l’omniprésent mot d’ordre «Système dégage», deux autres slogans de ralliement ont fait leur apparition lors de la manifestation d’hier : «Y en a marre de ce pouvoir» et «Le peuple veut l’indépendance» largement scandés par des centaines de Sétifiens qui ont bravés, encore une fois, la canicule pour faire entendre leurs voix.
Les Sétifiens ont également affiché leur refus aux propositions de dialogue prôné par le chef de l’Etat, Abdelkader Bensalah, ainsi que leur rejet du panel de personnalités chargé par le pouvoir de mener le processus de dialogue.
«Pas de dialogue tant que la bande de maffieux est au pouvoir». Telle était la réponse des Sétifiens hier à l’adresse de Bensalah.
En présence d’un important dispositif policier, les manifestants ont réitéré leurs principales revendications, celles du départ de Noureddine Bedoui et de son gouvernement et la libération de tous les détenus d’opinion.
I. S.