Le rôle des médias est très important dans la gestion
des catastrophes naturelles. Les médias sont partie prenante pour
accompagner les autorités locales dans le domaine de la communication.
Les médias peuvent jouer un rôle primordial dans la réduction de la
catastrophe. Comment sensibiliser le public ? Tels ont été les points
débattus hier, au siège de la Wilaya d’Alger, entre les représentants de
la corporation et le bureau d’étude EMI composé d’experts algériens et
étrangers dans le cadre d’un projet technique de gestion des
catastrophes intitulé «Plan directeur de résilience urbaine» de la
wilaya d’Alger (PDRU).
Abdelhalim Benyellès - Alger (Le Soir) - Il s’agit d’un débat avec la presse invitée visant à mieux comprendre son rôle dans la couverture des événements. « Le citoyen doit être avant tout sensibilisé avant, pendant et après les catastrophes naturelles, qu’elles soient séismes, inondations ou glissements de terrain, afin de réduire les risques des pertes », dira M. Smaïl Mohammed, le directeur du projet PDRU en ouverture de la séance de travail. Le bureau d’études composé dans sa majorité d’experts algériens établis à l’étranger, travaille en collaboration avec des universitaires nationaux et différents autres partenaires dont la Sonelgaz et le CTC, afin de réaliser un projet visant à réduire les effets des catastrophes naturelles par l’élaboration d’un document technique, comportant, entre autres, cartes séismiques, cartes des inondations, études du CTC qui détermineraient les zones à risques.
Un document, explique le coordonnateur du bureau d’études récemment mis en place, qui sera intégré dans le Plan directeur d’aménagement urbain (PDAU) de la Ville d’Alger.
Un expert philippin, membre du bureau d’études EMI, a insisté sur l’importance de l’amélioration de l’information, parlant du rôle des médias lors des catastrophes, grâce à la relation entretenue avec les pouvoirs publics. « Il faut informer le citoyen juste et à temps afin d’éviter de le perturber », ajoute un autre intervenant qui insiste sur le rôle du dialogue dans ce domaine.
Le Plan directeur de résilience urbaine est expliqué par le bureau d’études chargé de la mission de la gestion des catastrophes, comme étant un plan de réduction des risques, mais tout en insistant sur l’importance du rôle de la communication et la sensibilisation. Pour ce faire, on envisage la formation et le renforcement des connaissances des médias, ainsi que le lancement d’un vaste programme de sensibilisation en direction des associations.
Le PDRU, en tant qu’outil performant mis en œuvre dans plusieurs capitales mondiales, explique-t-on, constitue un plan de réduction des risques de catastrophes , et sa capacité à réduire leur impact tant sur les vies humaines que sur les biens ainsi que sa capacité à rétablir rapidement les fonctions vitales liées à la vie du citoyen, parlant d’hôpitaux, eau, électricité.
C’est dans ce contexte que le rôle des médias est cité, afin d’assurer la continuité des activités de l’Etat.
A. B.
Abdelhalim Benyellès - Alger (Le Soir) - Il s’agit d’un débat avec la presse invitée visant à mieux comprendre son rôle dans la couverture des événements. « Le citoyen doit être avant tout sensibilisé avant, pendant et après les catastrophes naturelles, qu’elles soient séismes, inondations ou glissements de terrain, afin de réduire les risques des pertes », dira M. Smaïl Mohammed, le directeur du projet PDRU en ouverture de la séance de travail. Le bureau d’études composé dans sa majorité d’experts algériens établis à l’étranger, travaille en collaboration avec des universitaires nationaux et différents autres partenaires dont la Sonelgaz et le CTC, afin de réaliser un projet visant à réduire les effets des catastrophes naturelles par l’élaboration d’un document technique, comportant, entre autres, cartes séismiques, cartes des inondations, études du CTC qui détermineraient les zones à risques.
Un document, explique le coordonnateur du bureau d’études récemment mis en place, qui sera intégré dans le Plan directeur d’aménagement urbain (PDAU) de la Ville d’Alger.
Un expert philippin, membre du bureau d’études EMI, a insisté sur l’importance de l’amélioration de l’information, parlant du rôle des médias lors des catastrophes, grâce à la relation entretenue avec les pouvoirs publics. « Il faut informer le citoyen juste et à temps afin d’éviter de le perturber », ajoute un autre intervenant qui insiste sur le rôle du dialogue dans ce domaine.
Le Plan directeur de résilience urbaine est expliqué par le bureau d’études chargé de la mission de la gestion des catastrophes, comme étant un plan de réduction des risques, mais tout en insistant sur l’importance du rôle de la communication et la sensibilisation. Pour ce faire, on envisage la formation et le renforcement des connaissances des médias, ainsi que le lancement d’un vaste programme de sensibilisation en direction des associations.
Le PDRU, en tant qu’outil performant mis en œuvre dans plusieurs capitales mondiales, explique-t-on, constitue un plan de réduction des risques de catastrophes , et sa capacité à réduire leur impact tant sur les vies humaines que sur les biens ainsi que sa capacité à rétablir rapidement les fonctions vitales liées à la vie du citoyen, parlant d’hôpitaux, eau, électricité.
C’est dans ce contexte que le rôle des médias est cité, afin d’assurer la continuité des activités de l’Etat.
A. B.