L’Algérie, à l’instar de plusieurs pays dans le monde, fait face à une
situation particulièrement préoccupante au plan sanitaire en raison de
la propagation rapide du virus corona (Covid-19), dont les cas
augmentent de jour en jour, ce qui a nécessité une mobilisation des
pouvoirs publics, du secteur chargé de la santé, notamment.
Devant cette situation alarmante, et pour endiguer cette pandémie, «notre mobilisation à tous et notre disponibilité totale sont indispensables», estime le médiateur de la République.
Karim Younès affirme, par ailleurs, dans un communiqué, qu’il est «primordial de savoir raison garder, de ne pas céder à la panique, ce qui ne ferait que ralentir le processus de prise en charge par les organismes de santé publique».
Pour lui, « vaincre le coronavirus est devenu l’affaire de tous. C’est ensemble et seulement tous ensemble, par une prise de conscience raisonnable et raisonnée et par le respect des instructions données que nous pourrons prétendre éradiquer cette pandémie».
Et de faire appel au «sens de la responsabilité collective et individuelle, dans le propre intérêt de tout un chacun d'abord, dans l’intérêt de tous ensuite et enfin dans l’intérêt de notre pays».
M. K.
Devant cette situation alarmante, et pour endiguer cette pandémie, «notre mobilisation à tous et notre disponibilité totale sont indispensables», estime le médiateur de la République.
Karim Younès affirme, par ailleurs, dans un communiqué, qu’il est «primordial de savoir raison garder, de ne pas céder à la panique, ce qui ne ferait que ralentir le processus de prise en charge par les organismes de santé publique».
Pour lui, « vaincre le coronavirus est devenu l’affaire de tous. C’est ensemble et seulement tous ensemble, par une prise de conscience raisonnable et raisonnée et par le respect des instructions données que nous pourrons prétendre éradiquer cette pandémie».
Et de faire appel au «sens de la responsabilité collective et individuelle, dans le propre intérêt de tout un chacun d'abord, dans l’intérêt de tous ensuite et enfin dans l’intérêt de notre pays».
M. K.