Actualit�s : AFFAIRE ENCG
�Mise au point� et explications


R�agissant � notre article publi� dans l’�dition du 26 septembre dernier et intitul� �ENCG de B�ja�a : arriv�e de 1000 tonnes d’huile brute�, une mise au point portant la signature du secr�taire g�n�ral du syndicat d’entreprise de l’ENCG nous a �t� adress�e et dans laquelle, le signataire, r�pondant au nom de Kamel Aliane indique qu’�il aurait �t� plus d�ontologique et plus juste de parler de la tr�s grande d�ception des travailleurs de la filiale et des syndicalistes, � plus forte raison qu’il n’existe aucune d�cision des pouvoirs publics pour d�bloquer la situation�, ou encore, �ni le chef du gouvernement ni encore moins son ministre des Finances ne sont intervenus pour accorder un quelconque pr�t bancaire, d’o� nos interrogations sur les origines de ces sources d’information, tentant de d�douaner les pouvoirs publics de leur responsabilit� �.
Plus loin, le signataire du document dira que �les filiales �tant des entreprises � part enti�re conform�ment au code du commerce, ont �t� emp�ch�es arbitrairement par la banque jusqu’� une date r�cente (septembre 2004) de proc�der � leur propre approvisionnement malgr� qu’elles disposent des moyens financiers pour le faire�. Mais, le plus grave dans toute cette histoire est que le sieur Kamel Aliane, s’est interrog� �sur le 3e partenaire qui a �mis le vœu de racheter tout le groupe et qui a �t� totalement ignor� par le journaliste�. Les propos contenus dans la mise au point n�cessitent des commentaires voire des pr�cisions. Le secr�taire g�n�ral du syndicat d’entreprise de l’ENCG dont le mandat a expir� depuis plus d’une ann�e, aurait d� prendre attache avec le signataire de l’article avant de se lancer dans des accusations qui s’inscrivent � contre-courant des principes syndicaux. L’information publi�e est authentique et ne soul�ve aucune ambiguit�. 1- La joie et le soulagement exprim�s par les travailleurs de la filiale ENCG de B�ja�a ont �t� explicit�s dans le fax transmis par le secr�taire g�n�ral de l’Union de la wilaya de B�ja�a, M. Mouloudji, au secr�taire g�n�ral de l’UGTA, Abdelmadjid Sidi Sa�d, le remerciant au nom des travailleurs et des syndicalistes de la r�gion pour les efforts d�ploy�s aupr�s des autorit�s concern�es pour d�bloquer la situation. Le document en notre possession a �t� fax� par l’int�ress� dans la journ�e du 25 septembre � 14h30mn. 2 – Contact� sur la question, le premier responsable de l’UGTA, en l’occurrence Abdelmadjid Sidi Said nous a bel et bien confirm� que �le d�blocage de la situation est intervenu apr�s d�marches et autres contacts entrepris aupr�s des autorit�s concern�es �, ce que confirme d’ailleurs le signataire de la mise au point, en indiquant que �les filiales �tant des entreprises � part enti�re, conform�ment au code du commerce, ont �t� emp�ch�es arbitrairement par la banque jusqu’� une date r�cente (septembre 2004) de proc�der � leur propre approvisionnement, malgr� qu’ils disposent des moyens financiers pour le faire�. Des propos confirm�s par le premier responsable de la F�d�ration nationale des travailleurs des industries agroalimentaires, M. Kamel Benabou. 3 – Cela �tant, il est �galement regrettable de porter des accusations sous pr�texte que le journaliste a volontairement �vit� de rendre public le nom du troisi�me partenaire �qui a �mis le vœu de racheter tout le groupe�. Bien au contraire, le r�dacteur de l’article n’a pas h�sit� en date du 07 septembre de publier un article dans lequel, il indique que �la soci�t� La Belleet un homme d’affaires alg�rien, install� en Suisse, ont manifest� leur int�r�t �en vue d’une prise de participation majoritaire dans le capital de filiales du groupe ENCG.� 4 - Quant au troisi�me partenaire, c’est � vous M. le secr�taire g�n�ral, �fervent d�fenseur� des int�r�ts des travailleurs, � le rendre public et d�noncer ainsi, le manque de transparence, comme l’a si bien fait avec beaucoup de courage votre chef hi�rarchique M. Kamel Benabou, le 20 septembre dernier devant 5000 travailleurs du secteur.� A ce niveau de responsabilit� organique, votre interlocuteur n’est autre que celui qui vous a permis d’�tre � la t�te du syndicat d’entreprise, alors que votre mandat a expir� depuis des mois… A. Bettache

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