A toi, Allouche Mohamed, qui hissa le noble art au firmament de la gloire en pleine p�riode coloniale. Et ton supporter n�1 n’�tait autre que notre ancien et d�funt pr�sident, Ferhat Abbas. Tu �tais un cas unique dans l’histoire de la boxe contemporaine � ne pas avoir connu la carri�re amateur.
Tu avais r�gn� sur les plumes et les l�gers, � deux reprises tu fus champion de France, face � Omar-le-Noir et Ka�d, exploits qui rel�vent de l’impossible, pour un d�serteur de l’arm�e fran�aise. Tu avais rempli des missions p�rilleuses, aux c�t�s de cet h�ros de La Casbah qui n’�tait autre que Arbadji Abderrahmane. Ton titre de champion d’Afrique du Nord des l�gers, tu l’as emport� avec toi, le 16- 12-1997 � ta derni�re demeure. Tes proches, tes amis eux et pour elles surtout, tu n’�tais que Casanova. Ton �pouse, tes enfants, tes petits-enfants dont Ly�s, devenu �diteur � Montr�al (Canada), ton gendre Abdelkader, ton fr�re Dahmane et le petit Mehdi qui, constamment, parle de toi. Comme le disait si bien le c�l�bre et redoutable poids l�ger tunisien, Brahim, jeune et n�anmoins ami de Mohamed. En ce temps, p�riode de la colonisation sans partage. Sur les rings, Allouche, tel un m�tronome, � lui seul, il �tait l’incarnation du nationalisme alg�rien. Gloire � toi ! repose en paix. “Ad vitam Deternam” tes sœurs, tes enfants et petitsenfants et ton �pouse Zineb, ton fr�re Dahmane qui t’adorent !

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