La commune de Souk-Ahras est depuis longtemps secou�e par des conflits entre les membres �lus qui exigent le d�part du pr�sident de l’APC en exercice (FLN, tendance redresseurs).
Apr�s l’affaire du r�trochargeur qui avait d�fray� la chronique ( Le Soir d’Alg�rie s’en est fait l’�cho au mois d’ao�t de l’ann�e derni�re) qui avait vu les �lus se mobiliser (18 sur 23) et �crire � la tutelle pour demander de relever de ses fonctions leur pr�sident avant de revenir “� de meilleurs sentiments”, c’est au tour de l’histoire de la place de l’Ind�pendance de refaire surface. 13 membres (4 ind�pendants, 3 Islah, 2 MSP, 2 FLN, 2 RND) sur les 23 que compte l’APC ont sign� une p�tition et comptent convaincre leurs pairs de rejoindre le mouvement et d�cider d’un retrait de confiance au pr�sident de leur institution. Selon les frondeurs, l’am�nagement de la place de l’Ind�pendance, la suppression des deux anciennes voies de communication et le co�t des travaux jug� trop �lev� (800 millions de centimes) et la gestion de la commune sont les principaux griefs retenus contre le pr�sident. Contact�, le premier magistrat de la ville qui nie tout en bloc nous d�clarera que l’inscription de projet d’am�nagement de ladite place s’est faite par la commission de wilaya dont le pr�sident est le secr�taire g�n�ral, et l’enveloppe consacr�e a �t� d�bloqu�e par le minist�re des Moudjahidine dans le cadre des festivit�s marquant le cinquantenaire de la R�volution. S’agissant des co�ts, il nous apprendra qu’au d�part, il avait �t� question d’allouer 500 millions de centimes mais que ce montant avait �t� revu � la hausse par l’ex-wali actuellement en poste � B�char. “Tout le tapage fait autour de cette affaire est orchestr� par un des membres, il est encore trop t�t pour en parler mais nous ferons d’importantes r�v�lations au cours d’une conf�rence de presse qui se tiendra vendredi prochain et � laquelle tout le monde est convi�”, conclut-il. Cependant, les membres s’activent et veulent � tout prix que les autres membres se rangent de leur c�t�. Le citoyen, lui, n’en a cure, il est “�cras�” par ses probl�mes qui ne trouvent pas de solution. M. Rahmani

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