R�gions Ouest : MASCARA
R�habilitation des cit�s : il y a urgence


La r�habilitation des cit�s �tait � l’ordre du jour ce mercredi au si�ge de l’APC. Ceci s’inscrit dans le prolongement de la d�marche entreprise par le comit� de suivi du d�veloppement de la ville qui s’attelle � r�nover la ville et lui redonner son v�ritable aspect. Pour les besoins des travaux qui seront entrepris dans diff�rents quartiers, l’on a avanc� la somme de 55 millions de dinars provenant de la taxe urbaine.

C’est le chef de da�ra qui a pr�sid� cette s�ance de travail � laquelle furent associ�s le P/APC, des �lus, le directeur de l’urbanisme et autres responsables. Il est �tabli que le parc immobilier dans son ensemble pr�sente un niveau de v�tust� avanc�e et quelque part il y a p�ril en la demeure tant les risques sont divers. Les raisons sont diverses et c�t� citoyens, l’on a d�cid� de les sensibiliser afin qu’ils s’impliquent dans la t�che de pr�servation de ce patrimoine. Pour la circonstance et afin que le message soit v�hicul�, l’on a invit� des imams et des associations de quartiers, m�me si pour ces derni�res leur efficacit� reste � prouver. L’�valuation de l’�tat des lieux, elle a �t� confi�e � des bureaux d’�tude et le diagnostic �tabli et port� � la connaissance de l’assistance fut effarant. En terme d’am�nagement, l’on citera l’exemple des cit�s 100 et 70 logements des programmes des ann�es 73 et 75 qui n’ont b�n�fici� d’aucun programme d’am�nagement ou de r�habilitation mais uniquement de programme partiel. Et puis, il y a ces transformations effectu�es dans ces immeubles collectifs en d�pit de la r�glementation. Il serait fastidieux d’�num�rer tout ce qui est contenu dans le listing �tabli par le premier bureau d’�tude et nous citerons comme exemple les am�nagements entrepris sur les balcons, au niveau des parties communes o� les fa�ades que se sont appropri�es certains avec une installation anarchique de placards publicitaires. Les extensions illicites, elles ont chang� l’aspect des immeubles. A ce propos, il a �t� d�cid� de proc�der par acte administratif de tous les rajouts et de faire recours � la justice si cela s’imposait pour mettre le hol� � ces modifications. Ceci pour l’aspect ext�rieur et en ce qui concerne l’int�rieur des immeubles, le constat est aussi amer et la responsabilit� des locataires ou propri�taires des logements est engag�e, que reste-t-il des escaliers des portes d’entr�e, des colonnes montantes d’AEP ? A ceci vient s’ajouter l’absence d’�clairage qui, de nos jours, rel�ve de l’utopie. Et puis, il y a les risques avec les absences de disjoncteurs ou les r�partiteurs non prot�g�s par des gaines. Les fa�ades ext�rieures de certains blocs sont parfois dans un �tat lamentable et certaines pr�sentent des trous b�ants au niveau du rez-de-chauss�e qui ne peuvent que favoriser la prolif�ration des rats � l’instar des caves. Donc, c�t� assainissement, il faudra repasser. Et quand c’est l’OPGI qui est propri�taire, celui-ci n’est pas irr�prochable. Ce qui a �t� dit sur les deux cit�s des 100 et 70 logements est valable pour les autres comme les 118, 52, 120 ou 936 logements, toutes concern�es par ce programme de r�habilitation au demeurant r�alisable. Pour cela, les efforts des locataires et propri�taires et tous ceux qui ont la charge de l’environnement des cit�s devenues de nos jours un milieu rural doivent �tre conjugu�s. C'est � ce seul prix que ces cit�s-dortoirs seront habitables. En attendant, dans certaines d’entre elles, vous pataugerez dans la boue quand vous sortez de chez vous.
M. Meddeber

Un citoyen tu� � l’arme blanche

La ville de Mascara a �t� mise en �moi, jeudi dernier aux environs de 18 heures, c’est au quartier de Bab Ali que M. D., un jeune citoyen, �g� de 25 ans environ, a �t� bless� mortellement par un coup de couteau et d�c�dera une fois qu’il a �t� transf�r� � l’h�pital. Selon les premi�res informations, il avait demand� � deux individus qui consommaient de l’alcool devant chez lui � se retirer. A son retour, il sera l�chement agress� et les deux auteurs de ce m�fait seront interpell�s par la police et plac�s en garde � vue.

La ville de Mascara a �t� mise en �moi, jeudi dernier aux environs de 18 heures, c’est au quartier de Bab Ali que M. D., un jeune citoyen, �g� de 25 ans environ, a �t� bless� mortellement par un coup de couteau et d�c�dera une fois qu’il a �t� transf�r� � l’h�pital. Selon les premi�res informations, il avait demand� � deux individus qui consommaient de l’alcool devant chez lui � se retirer. A son retour, il sera l�chement agress� et les deux auteurs de ce m�fait seront interpell�s par la police et plac�s en garde � vue. M. M.

Nombre de lectures :

Format imprimable  Format imprimable

  Options

Format imprimable  Format imprimable