R�gions Ouest : ORAN
Atelier r�gional arabe sur la gestion du spectre de fr�quence


Les participants � l’atelier r�gional arabe sur la gestion du spectre de la fr�quence, dont les travaux ont �t� ouverts hier � l’institut de t�l�communication Boussouf-Abddelhafid, ont insist� sur l’utilisation rationnelle de la fr�quence.

Soraya H. A. Oran (Le Soir) - Cette rencontre � laquelle ont pris part des experts repr�sentant des autorit�s techniques intervenant dans le domaine des t�l�communications de plusieurs pays arabes, dont la Syrie, l’Egypte, le Y�men, le Maroc, la Jordanie, et la Tunisie, est aussi l’occasion, selon les organisateurs de l’atelier, d’�changer les exp�riences en mati�re d’utilisation de la fr�quence et de sensibiliser l’ensemble des op�rateurs sur la gestion et la planification de cette ressource. D’ailleurs, dans son intervention, M. Abd El-Fettah Abu Kays, le repr�sentant arabe de l’UIT (Unit� internationale de t�l�communication), dont le si�ge se trouve en Egypte, a insist� sur l’utilisation r�fl�chie de la fr�quence, utilis�e aussi en Alg�rie par plusieurs promoteurs, tels que l’ENTV, la radio et la Sonelgaz. De son c�t�, le directeur g�n�ral de l’Agence nationale de la fr�quence en Alg�rie, repr�sentant du ministre de la Poste et de la Technologie de l’Information et de la Communication, a mis l’accent sur l’�mergence de nombreux utilisateurs de syst�mes radios, d’o� il est n�cessaire de bien planifier l’utilisation de cette ressource limit�e. Notons que plusieurs conf�rences sont programm�es durant cet atelier, qui sera cl�tur� le 09 mars prochain, entre autres sur le processus pour l’introduction de la radiodiffusion num�rique de la terre en Alg�rie, la coordination internationale et sur la distribution technique du spectre.
S.H.A.

 

GR�VE DES AVOCATS
Paralysie totale des tribunaux

Les avocats d’Oran ont r�pondu hier favorablement � l’appel de la gr�ve d’une journ�e lanc� par leur barreau, afin de lib�rer leur coll�gue incarc�r�e depuis le 6 mars dernier. Les avocats qui ont d�cid� de paralyser la cour et tous les tribunaux de la wilaya ont condamn� �nergiquement �l’incarc�ration de leur coll�gue par le parquet g�n�ral, sans le respect des proc�dures en vigueur�. C’est ce qui ressort d’une d�claration rendue publique par le barreau, qui a regrett� sa non-saisie avant l’arrestation de l’avocate pour prendre ses dispositions. C’est ainsi que le barreau a d�cid� de constituer une commission pour le suivi de l’affaire et de cesser toutes les activit�s des avocats inscrits au barreau pendant une journ�e pour lib�rer cette avocate. Le barreau a �galement d�cid� de boycotter toutes les activit�s relatives � la c�l�bration de la Journ�e internationale de la femme. Le trafic international d’enfants, faux et usage de faux, usurpation d’identit�, non-d�nonciation d’un crime et complicit� sont les chefs d’accusation retenus contre cette avocate, selon des sources judiciaires, qui pr�cisent aussi que cette affaire concerne l’attribution � une femme d’une enfant qu’elle n’a pas accouch�e.

Les avocats d’Oran ont r�pondu hier favorablement � l’appel de la gr�ve d’une journ�e lanc� par leur barreau, afin de lib�rer leur coll�gue incarc�r�e depuis le 6 mars dernier. Les avocats qui ont d�cid� de paralyser la cour et tous les tribunaux de la wilaya ont condamn� �nergiquement �l’incarc�ration de leur coll�gue par le parquet g�n�ral, sans le respect des proc�dures en vigueur�. C’est ce qui ressort d’une d�claration rendue publique par le barreau, qui a regrett� sa non-saisie avant l’arrestation de l’avocate pour prendre ses dispositions. C’est ainsi que le barreau a d�cid� de constituer une commission pour le suivi de l’affaire et de cesser toutes les activit�s des avocats inscrits au barreau pendant une journ�e pour lib�rer cette avocate. Le barreau a �galement d�cid� de boycotter toutes les activit�s relatives � la c�l�bration de la Journ�e internationale de la femme. Le trafic international d’enfants, faux et usage de faux, usurpation d’identit�, non-d�nonciation d’un crime et complicit� sont les chefs d’accusation retenus contre cette avocate, selon des sources judiciaires, qui pr�cisent aussi que cette affaire concerne l’attribution � une femme d’une enfant qu’elle n’a pas accouch�e.
S.H.A.

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