R�gions Est : SKIKDA
La d�linquance au cœur d’une action de sensibilisation


La d�linquance prouve de jour en jour, et � la lumi�re des faits rapport�s par la presse et les dossiers trait�s par la police et la justice, son ancrage soci�tal et ses “assises” d�vastatrices. Ce ph�nom�ne a fait l’objet lundi d’une journ�e de sensibilisation et d’information initi�e par l’association pour la protection des jeunes contre les fl�aux sociaux qui a eu lieu � l’h�tel Essalem et � laquelle ont pris part les repr�sentants des secteurs de la jeunesse et des sports, de l’�ducation, de la justice, des affaires religieuses, de la sant� ainsi que des �l�ves du lyc�e Larbi- T�bessi.
Des communications portant sur des th�mes vari�s tels “la d�perdition scolaire et la d�viation des jeunes”, “les activit�s culturelles et scientifiques et leur r�le dans la promotion du comportement des jeunes”, “la v�ritable mission des mosqu�es dans le domaine de la pr�vention contre les fl�aux sociaux ?”, ont �t� pr�sent�es soulevant des pr�occupations et sugg�rant l’implication de la communaut� et ses diff�rents acteurs, en mettant l’accent sur le r�le pr�pond�rant de la famille afin d’att�nuer les relents du banditisme, de la d�gradation des valeurs morales, des d�perditions scolaires, de l’�clatement des �nergies cr�atrices, de l’occidentalisation sauvage et inutile... Parall�lement � ces interventions, une revue mensuelle �dit�e par cette association et des d�pliants ont �t� distribu�s aux pr�sents, mettant en relief ses activit�s, les progr�s r�alis�s dans le domaine de la prise en charge des “toxicomanes” ainsi que les dangers d�coulant de la consommation des trois cat�gories de la drogue et autres conseils utiles. Le pr�sident de cette association, Boudjema� Dib, nous a fait part, en marge de cette journ�e, de la marginalisation de son organisation, “cela fait deux ann�es que nous n’avons re�u aucune subvention de la part de l’APC, en d�pit de notre continuelle pr�sence sur terrain. M�me pour avoir droit � la salle de A�ssat-Idir pour organiser cette journ�e, nous avons essuy� un refus. Le vice-pr�sident nous a exig� de payer pour l’accord de principe. J’ai alert� toutes les autorit�s locales au sujet des attributions au profit des associations, lors de la session ordinaire de l’APC, qui s’est d�roul�e derni�rement”.
Za�d Zohe�r

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