R�gions Ouest : TRANSPORTS : TRAJET ORAN/AIN-TURK
Le calvaire


Tous ceux qui doivent emprunter le trajet Oran/A�n-Turk allerretour vivent un v�ritable calvaire. Par obligation sociale ou professionnelle c’est un casse-t�te que le citoyen souhaiterait volontiers �viter.
Amel B. - Oran (Le Soir) : A partir de 16 heures, les taxis en partance vers A�n-Turk se font rares et parfois m�me inexistants et le citoyen se retrouve � attendre apr�s une dure journ�e de travail puis contraint � prendre l’un des nombreux clandestins qui eux, en revanche, sont pr�sents comme “par hasard” � partir de 16 heures, comme s’ils �taient l� pour assurer la rel�ve. Une rel�ve qui est fix�e entre 70 DA et 100 DA. D’autres viennent aussi � cette m�me heure, ce sont les chauffeurs de taxi du centre-ville qui ne sont pas cens�s assurer cette ligne mais l’app�t du gain les y am�ne puisqu’ils exigent du client des tarifs qui ne sont jamais fixes, entre 50 et 60 DA. Face au nombre important des taxis qui assurent ce trajet, normalement il ne devrait pas y avoir de d�ficit. Les raisons de cette “�clipse” � partir de 16 heures des citoyens les expliquent par le fait que certains se suffisent de leur gain jusqu’� une heure pr�cise, alors que d’autres pour la plupart ne sont pas int�ress�s pour faire la navette A�n- Turk/Oran sans prendre de client puisqu’� cette heure-ci rares sont ceux qui se dirigent vers Oran. Alors que d’autres pr�f�rent �viter de reprendre la route � cause de son �tat cahoteux et en chantier. D�s lors, ils pr�f�rent assurer le circuit St-Rock et A�n-Turk. Pendant ce temps, les citoyens qui attendent � la station d’Oran et qui pr�f�rent �conomiser leur argent optent pour le “taxi djama�” n�2, seulement ce dernier se trouve � la station situ�e � Sid-El-Houari. A cet endroit, et surtout � une heure tardive, le risque de se faire agresser est omnipr�sent. La solution est, selon les citoyens qui vivent cette difficult�, entre les mains de la Direction du transport qui devrait mettre fin � cette anarchie et r�organiser cette ligne, ne serait-ce qu’en �tablissant un syst�me de deux �quipes qui se relayent. Ce serait un v�ritable soulagement pour une routine plus agr�able.
A. B.

Nombre de lectures :

Format imprimable  Format imprimable

  Options

Format imprimable  Format imprimable