Culture : AIN DEFLA
Ouverture de la semaine culturelle amazighe


Un temps printanier, en plein milieu des vacances scolaires, un site pittoresque, toutes les conditions ont �t� r�unies pour la r�ussite de cette manifestation, la premi�re du genre dans la wilaya de A�n Defla.
Autorit�s civiles et militaires, directeurs d’ex�cutif, chefs de da�ra, P/APC, pr�sidents d’associations, la d�l�gation conduite par le wali a assist� � l’ouverture officielle apr�s la visite des diff�rents stands repr�sentant chacun une wilaya, 10 au total avec quelque 300 participants, artistes, troupes th��trales et musicales et diverses manifestations culturelles sp�cifiques de chacune de ces r�gions du pays, allant de l’art culinaire en passant par le costume et les bijoux aux traditions telles que le mariage, danse, zorna, tambours du M’zab, musique kabyle. Le d�fil� des d�l�gations pr�c�d� de cavaliers de parade Hamam Righa qui renoue avec l’ambiance des grandes manifestations touristiques, a vibr� ce dimanche au rythme de la diversit� des us et coutumes de l’Alg�rie une et plurielle. Le P/APC, M. Ziane Ahmed, qui a ouvert officiellement la semaine culturelle n’a pas manqu� de souligner l’importance de cette grande manifestation : “Nous sommes heureux d’accueillir dans notre wilaya aux traditions hospitali�res cette grande manifestation de grande confraternit� qui constitue un espace d’�changes, de connaissance, d’amiti�, de fraternit� entre Alg�riens dans une Alg�rie unie et indivisible...”. Puis ce fut la wilaya de Tizi Ouzou qui a ouvert “le bal” avec la traditionnelle danse retra�ant la vie quotidienne dans cette vaste r�gion du Djurdjura, la Kabylie, par une repr�sentation des diff�rentes phases de la r�colte des olives, tr�s applaudie par un public enthousiaste. Par la suite, ce fut au tour du M’zab, Oum El Bouaghi, B�ja�a, Bouira et les autres de faire conna�tre leurs wilayas. Un handicap cependant et de taille : le probl�me de la langue, ressenti comme une grande frustration ! “Dommage nous ne comprenons pas, nous n’avons pas pu avoir acc�s aux charmes de la po�sie, des paroles des chants”, se sont plaints de nombreux assistants. Cependant, la salle, archicomble, a vibr� sous le charme des rythmes, de la m�lodie et de la chor�graphie des danses. La f�te continue � Hammam Righa et s’�tend par des repr�sentations aux autres communes et da�ras.
Karim O.

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