R�gions Est : ANNABA/PARTIS POLITIQUES
Hmarnia Tayeb, nouveau patron du RND, apr�s avoir �t� au FLN et au MDA


Comme attendu, Hmarnia Tayeb, actuel secr�taire g�n�ral de l’Union de wilaya UGTA, a pris mardi dernier les r�nes du Rassemblement national d�mocratique (RND), � Annaba, apr�s la d�mission de M. Temim, un intellectuel connu pour sa sagesse et sa vision politique.

Depuis, la vacance du poste de coordinateur de wilaya du RND, plusieurs noms ont �t� avanc�s pour succ�der � celui qui a rendu le tablier sans tapage ni bruit, pr�f�rant redevenir un simple militant. C’est finalement Hmarnia Tayeb, qui fut, en m�me temps, � une certaine �poque, directeur g�n�ral adjoint d’une entreprise publique dissoute et secr�taire g�n�ral de l’Union territoriale UGTA de Annaba, � �tre nomm� � la t�te du RND � Annaba, sans aucune contestation, lors d’une rencontre tenue � l’h�tel des P et T de Annaba. Le nouveau locataire du RND, install� au si�ge de l’ex-repr�sentation du quotidien arabophone En Nasr, est connu de la place publique pour avoir chang� de couleur politique en fonction des conjonctures, tant�t au FLN, puis au RND, ensuite au MDA. Hmarnia est �galement l’homme des compromis au sein de l’UGTA de Annaba au sein de laquelle il arrive � s’entendre � merveille avec le patron du syndicat de Mittal Steel, ex-ISPAT, en l’occurrence Menadi A�ssa, l’un de ses puissants concurrents. Il va sans dire que sa d�signation � la t�te du RND � Annaba va s�rement susciter des r�actions d�favorables de certains militants influents de ce parti et qui croient � la l�galit� et respectent le r�glement int�rieur r�gissant leur formation politique. Nabil Keba�li

Colloque international sur la protection juridique des biens culturels

La protection des biens culturels reste une protection inefficace du fait que les objets d’art peuvent �tre vol�s, export�s et vendus, et ce n’est qu’apr�s coup qu’ils sont d�couverts par leurs propri�taires, c’est ce qui a �t� soulign� avec force lors du colloque international de trois jours consacr� � cette question et qu’avait abrit� le campus de Sidi Achour de l’universit� de Badji- Mokhtar. Les d�bats qui ont suivi les communications anim�es par des sp�cialistes du domaine, se sont focalis�s sur la n�cessit� d’appliquer les lois � l’�chelle interne et internationale pour stopper le trafic des biens culturels aussi bien en p�riode de paix qui de guerre. Sommes-nous arriv�s � assurer une protection des biens culturels ? se sont interrog�s les animateurs de ce colloque, parmi eux des repr�sentants de l’Unesco et de l’Unidroit. Tous ont �t� unanimes � souligner qu’il est imp�ratif de renforcer les moyens de protection des biens culturels qui repr�sentent la m�moire collective de l’histoire et des arts.
N. K.

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