Alors que pr�c�demment les adh�rents du Club des entrepreneurs et industriels de la Mitidja (CEIM), sous la f�rule de son pr�sident, M. Abdelkader Tayeb Ezzra�mi, avait rencontr� le directeur de la CNAS et un inspecteur du Travail pour d�battre des probl�mes li�s aux activit�s des entreprises entre autres les litiges et les contentieux avec la Caisse nationale d’assurance, c’est au tour de la direction de la Sonelgaz de Blida d’�tre l’invit�e du CEIM afin que des explications relatives � l’emprunt obligataire lanc� par la Soci�t� de l’�lectricit� et du gaz soient apport�es aux industriels.

La Sonelgaz de Blida dont l’objectif est de s’approcher de sa client�le, notamment les grands consommateurs qui repr�sentent 40% de son chiffre d’affaires a profit� de cette rencontre pour donner un aper�u sur les grandes mutations qui sont en train de s’op�rer au sein de cette entreprise et expliquer subs�quemment l’op�ration d’emprunt ainsi que les avantages susceptibles de d�couler de cette action. Aid�s en cela par des banquiers dont les directeurs respectifs de la BNA et de la CNEP, les responsables de Sonelgaz, � savoir MM. Bouzenboua et Hayoun, respectivement directeur g�n�ral de la distribution centre et directeur r�gional de Blida, ont fourni toutes les pr�cisions quant � cet emprunt qui, apparemment, int�resse les industriels surtout que les int�r�ts sont all�chants. “Nous serons au rendez-vous de cette op�ration et avec force m�me”, diront certains industriels. Il faut dire que l’apport du CEIM dans la perspective de Sonelgaz n’est pas des moindres si l’on s’en tient � leur importance dans l’�conomie nationale qui reste � tout le moins imposant. Convaincus que leur contribution apporte un plus � l’essor de la Sonelgaz pour laquelle les industriels en tireront certainement profit, et ce, par l’am�lioration de la qualit� de service, les adh�rents du CEIM ont favorablement accueilli l’initiative. Avant la cl�ture de la s�ance, les responsables de Sonelgaz ont r�pondu � quelques pr�occupations des industriels entre autres les nouvelles tarifications qui les inqui�tent � plus d’un titre. M. B.

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