C’est sous le slogan, “vaut mieux pr�venir que gu�rir”, le m�decin soigne l’homme et le v�t�rinaire gu�rit l’humanit�”, qu’une journ�e d’�tudes destin�e � la lutte contre les maladies � transmission hydrique et zoonoses, init�e par l’inspection v�t�rinaire de la wilaya, la DSP conjointement avec les bureaux d’hygi�ne communaux, s’est tenue samedi au niveau du si�ge de la wilaya, �paul�e par le secr�taire g�n�ral de wilaya.
L’ordre du jour : la vigilance et la rigueur dans l’application des directives de programmes �tablis pour la lutte contre les maladies sus-cit�es. Cette situation d’ailleurs v�rifi�e au niveau de certaines villes du pays, a �t� d’occasion pour M. A. Naceur, secr�taire g�n�ral de la wilaya de donner “un coup de fouet”, aux diverses structures principalement les collectivit�s locales qui sont en charge des questions d’hygi�ne dans le but d’une meilleure prise en charge de l’ensemble des aspects li�s � la sant� publique, partant du fait que la garantie et la pr�servation de la sant� du citoyen sont parmi les priorit�s essentielles des pouvoirs publics. Il est donc de leur devoir de mettre en place un dispositif de veille permettant d’�viter toute survenante d’�ventuelles maladies. A ce titre, des mesures fermes ont �t� prises concernant la lutte contre les maladies � transmission hydrique par l’�radication des sources et des vecteurs (fuites dans les r�seaux d’eau et d’assainissement, caves inond�es, d�charges sauvages, chaulage des puits, contr�le de la qualit� des eaux d�monstration et d�ratisation…), lutte contre les zoonoses, par la densification des op�rations d’abattage des animaux errants selon M. Houcine docteur sp�cialiste, inspecteur principal, la redynamisation des bureaux communaux d’hygi�ne pour une surveillance rigoureuse et stricte de l’ensemble de la cha�ne alimentaire, tout en insistant sur l’obligation de r�sultats qui incombent � tout un chacun. Les autorit�s locales ont mis d�j� un dispositif des acteurs impliqu�s, les moyens ad�quats pour conduire � leur terme les objectifs retenus.
A. Rahmane

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