R�gions Est : ANNABA
Op�ration �radication du sachet noir et nettoyage des plages


Le 11 juillet � Annaba, l�heure �tait � l��radication du sachet noir, ce sachet qui �tait depuis des lustres coll� aux p�res de famille alg�riens est aujourd�hui vilipend� et mis � l�index et clou� au pilori.
Plus donc de sachet noir, on passe � la vitesse sup�rieure en imposant un nouveau sachet frapp� du logo �alimentaire� avec le sigle du fabricant. 50 000 sachets de ce type ont �t� distribu�s aux h�pitaux, aux d�taillants et aux grossistes �tablis sur les art�res commer�antes. La direction de l�environnement, les associations, l�UGCAA, et la direction du commerce ont lanc� conjointement cette op�ration qui s��talera sur une semaine et touchera dans un premier temps les localit�s d�El-Bouni, Sidi-Amar et El-Hadjar avant d��tre �largie � toutes les autres communes de Annaba. Des brigades mixtes sillonnent le territoire de la wilaya pour veiller au bon d�roulement de l�op�ration en intervenant au niveau des �piceries, des boucheries, des marchands de fruits et l�gumes, des p�tisseries et autres pour sensibiliser les commer�ants et les clients aux nouvelles dispositions en mati�re de sacs alimentaires. Parall�lement � cela, une autre op�ration de nettoyage celle-l� a eu lieu au niveau de la plage Rizzi-Amor (ex- Chapuis), de jeunes volontaires des associations de quartiers, tee-shirts blancs casquettes et gants arm�s de rateaux ont tout ramass� sous les yeux des estivants qui, apparemment �taient quelque peu g�n�s de voir que des jeunes ramassent les d�tritus qu�ils ont laiss�s. Certains se sont m�me lev�s pour participer � ce nettoyage et ont accompagn� les volontaires jusqu�� l�extr�mit� de la plage. �Nous voulons par cette action qui se d�roule en pleine saison et en pr�sence des estivants, nous confie M. Alleg Omar directeur de l�environnement � Annaba, amener les gens � changer de comportement et ce, pour pr�server l�environnement. Quand on voit un jeune ramasser ce qu�on a laiss� tra�ner sur le sable, on est embarrass� et confus et on ne s�amusera plus � recommencer.�
M. Rahmani

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