Suite � �l�article� paru en premi�re page de votre journal du 19 courant et dans le cadre de notre droit de r�ponse, nous vous demandons de publier la mise au point suivante dans les m�mes formes et emplacement que l�article en question. Cet article est surprenant par son contenu ainsi que par la forme et la mani�re dont il est pr�sent� (en premi�re page, gros caract�res, affirmation p�remptoire, deux bouteilles Ifri mises en �vidence sans aucune autorisation de notre part).

Ce qui d�note un ciblage particulier et volontaire de notre marque bien qu�une autre soit subrepticement cit�e et que des dizaines d�autres qui sont sur le march� sont ignor�es. Il est fait �tat d�une pol�mique locale et m�me nationale qui, en fait, est surtout suscit�e et entretenue exclusivement par cet article. La publicit� mensong�re et tromperie sur la marchandise qui, est affirm�e et portant sur une mention qui serait port�e sur l��tiquette �Ifri� ne concerne aucunement notre marque, � moins qu�il y ait confusion ? Outre l�exigence l�gale, nous avons le plus grand souci du consommateur, � cet effet, notre production fait l�objet d�analyses quotidiennes par notre service contr�le de qualit� et des analyses p�riodiques qui sont �tablies r�guli�rement par deux laboratoires publics et deux autres priv�s dont le s�rieux, la renomm�e et la qualification sont parfaitement �tablis et reconnus. En outre, de tout temps et jusqu�� ce jour, les �chantillons d�eau min�rale soumis � ces laboratoires se sont toujours av�r�s conformes aux normes r�glementaires nationales. Les affirmations contenues dans cet article sont mises sur le compte d�institutions publiques (DCP Annaba) qui nous ont affirm� ne pas avoir communiqu� les informations dont il est fait �tat qui sont erron�es. Concernant les mesures coercitives, seules les instances habilit�es sont comp�tentes � en faire �tat. Le g�rant M. Ibrahim

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