Actualit�s : CHAKIB KHELIL AU SUJET DES CADRES SUSPENDUS
�Il y a eu des enqu�tes en Alg�rie et � l��tranger�


Durant le point de presse tenu jeudi dernier � l�issue de sa visite � la zone industrielle d�Arzew et A�n El Bia, le ministre de l�Energie et des Mines, n�a pas vraiment tenu � s�exprimer sur le cas des cadres de la Sonatrach suspendus, consid�rant que l�affaire �tait en justice. Il a tout de m�me tenu � pr�ciser sans pour autant cacher sa g�ne, que leur nombre �tait de 24 cadres, suspendus dit-il, mais toujours en poste sauf qu�ils ne jouissent plus de leurs pr�rogatives de responsables.
Il ajoute qu�il n�est pas dans l�int�r�t de l�Alg�rie et encore moins de celui de ces cadres de parler d�avantage de ce probl�me qui est � pr�sent entre les mains de la justice. Quant aux v�ritables reproches dont sont accus�s ces cadres, Chakib Khelil �vite de prononcer les chefs d�accusation et pr�f�re parler de �gens qui font �des choses� qui ne sont pas l�gales et doivent en r�pondre�. Sollicit� par la presse � r�agir face � la contestation du syndicat de l�UGTA qui a d�nonc� cette suspension, qui pourrait �tre li�e � la nouvelle loi sur les hydrocarbures, il dira : �Le ministre ne prend jamais de d�cision � la l�g�re, �a n�a vraiment pas �t� facile pour moi, �a m�a pris beaucoup de temps, j�y ai beaucoup r�fl�chi. Cette suspension n�est pas venue du ciel, il y a eu des enqu�tes en Alg�rie et m�me � l��tranger. J�ai toujours eu une grande estime pour les cadres du secteur, qui d�ailleurs, ont toujours b�n�fici� des meilleurs avantages. Face au contenu de leurs dossiers, ma d�cision �tait tr�s difficile mais je devais la prendre. Je vous assure que �a n�a rien � voir avec la nouvelle loi sur les hydrocarbures.� Il pr�cisera que le syndicat et la presse ont le droit de s�exprimer sur ce sujet et d�ajouter : �Que ceux qui estiment avoir des �l�ments pouvant aider ces cadres, qu�ils aillent les remettre � la justice. Mais je peux vous assurer que ni l�un ni l�autre (presse/syndicat) n�ont en leur possession les informations dont moi-m�me et la justice disposons�.
Amel B.

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